Introduction délicate.
Datte: 26/01/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
fdanus,
Humour
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... végétation, en touffe de boucles brunes/grises, fléchait la raie culière l’air de dire "pour l’anus suivez les flèches". Et surtout, surtout, ces odeurs grisantes : la robe s’étant rabattue sur la face externe des cuisses ramenait vers moi des effluves odorantes que son corps avait libérées durant son combat contre l’arbre. Nouveau retour à la réalité !
— Au lieu de rester béat, avancez donc que je puisse me laisser glisser !
Ainsi fut fait ! Ses cuisses glissèrent sur mes épaules, sa robe étant stoppée par ma tête. Contact caressant de cette peau dénudée à travers l’étoffe frustre de ma chemise. Ma bite, de frustration, tressautait dans sa prison. Quelques secondes plus tard, ce fut la sarabande. Un instant, je crus que j’allais éjaculer dans mon slip quand son minou passa à la hauteur de mes yeux. Je n’en avais jamais vu un de si près. Circonstance aggravante, la substance luisante qui en maculait les poils semblait prouver que la dame avait apprécié de s’être montrée.
S’il me restait quelque doute, la manière « fortuite », dont elle vint coller son sexe contre ma bouche les leva. J’étais totalement puceau en la matière, mais j’avais des lettres, en tout cas j’avais eu entre les mains suffisamment de revues pornos pour savoir qu’il y avait quelque chose à faire. Tenant toujours sa branche, elle avait placé ses pieds contre mon ventre. Je lui agrippai les hanches pour soulager l’effort de ses bras. Et je me lançai bravement ma langue à l’assaut.
Ayant joué ...
... les débroussailleuses, elle pénétra le vagin effectivement très lubrifié. Inexpérimenté, je remuais ma langue à l’intérieur de cette brûlante cavité mais très vite, j’eus l’impression que malgré l’inconfort de sa position, c’est son sexe qui jouait avec ma langue. Les poils de sa chatte qui bougeait sans cesse m’agaçaient le menton. Un truc ferme se frottait contre le bout de mon nez. J’essayai d’adapter le rythme de mes lècheries à ses mouvements de bassin. Je devais pas trop mal m’y prendre car au-dessus de moi, je l’entendais râler et sa respiration s’emballait.
Mes mains avaient délaissé ses hanches pour soutenir son cul dans ses contorsions. Cul aussi ferme que je l’avais pensé. Je le malaxai sans retenue tout en lui imprimant les impulsions nécessaires à mon minoutage. Devant ses réactions très positives, je prenais de l’assurance. Mon nez jouait avec ce que j’avais compris être son clitounet. Petits frottements, douces pressions. Je le remontais, tournais autour, lui racontais des histoires inuits. Mon nez était tout baveux de sa mouille. Ma langue s’aventurait plus profondément en elle, nettoyant avec une application passionnée jusqu’au dernier repli. Combat perdu d’avance, car plus je nettoyais, plus les parois se couvraient de cyprine. Ma cavalière s’agitait de plus en plus. Soudain, d’une voix limite hystérie, elle déclama :
— Wouui !… Mon ami ! Oh Wouui ! Fouissez-moi ! Léchez-moi ! Buvez-moi ! Attaquez-vous à ce temple que nul, hormis ma main et quelques ...