Adieu Marie, bonjour Catherine
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
amourpass,
amourcach,
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... seras mariée tu regretteras toutes les occasions que tu auras laissées passer. C’est difficile quand on vit avec un homme de satisfaire toutes nos envies, même si ce sont des pulsions passagères et sans importance, et Dieu sait si on en a, des envies…
— Il est gentil, j’aime être avec lui, mais je ne sais pas encore si l’attirance que j’éprouve est suffisante pour me lancer dans une liaison sérieuse. J’ai l’intuition que pour aimer vraiment un homme il faut beaucoup plus qu’un petit sentiment d’amitié amoureuse.
— Ne sois pas sotte et dis-toi que tu n’es pas seule : il y a ton corps. Interroge-le, diable ! Quand on a vingt-et-un an comme toi, on a besoin d’autres plaisirs que des baisers et des caresses pudiques. Ces jeux innocents sont ceux d’adolescents de quinze ans, et tu en as plus de vingt !
—ooOoo—
Les jours passaient et Catherine me plaisait de plus en plus bien qu’elle fût distante, réservée, parfois assez désagréable à mon égard. Probablement, cette attitude attisait mon envie de mieux la connaître. J’aurais aimé lui plaire. À certains trop rares moments, elle semblait me témoigner un réel intérêt. J’en étais ravi ; mais chaque fois que je tentais de profiter de son humeur favorable, elle redevenait pensive et absente, s’éloignait sans un mot et reprenait ses occupations comme si je n’existais pas. Alors, de façon incompréhensible, elle me manquait.
Il m’arrivait, le soir, après que Sandra m’eut littéralement éreinté, d’attendre tard dans la soirée le ...
... retour de Catherine, seul sous la véranda. Lorsqu’elle apparaissait, j’avais la sensation de la connaître depuis toujours sans qu’aucun souvenir précis ne me rattachât à elle. Elle me rappelait Marie, bien qu’en apparence tout les différenciait. Marie, petite, menue, blonde, ressemblait à une poupée. Elle avait un charme propre et ordonné. La beauté de Catherine, au contraire, était plus provocante. C’était la beauté d’une sauvageonne. Ses longs cheveux bruns tombaient en cascade sur ses épaules nues. Avec des pommettes très légèrement saillantes, elle aurait pu avoir un type asiatique, si ce n’était ses yeux d’une couleur claire indéfinissable. Sa silhouette élancée, ses hanches épanouies et sa poitrine généreuse et ferme composaient un ensemble d’une sensualité ravageuse. J’aimais aussi ses longues cuisses dont le fuselé se cassait brusquement pour s’épanouir en deux globes d’une parfaite rondeur. La sensualité cachée de Marie – que j’avais découverte par le don qu’elle m’en avait fait – je la retrouvais en Catherine, aussi mystérieuse mais plus accessible et plus visible car elle la baignait comme un halo de lumière.
Comme Marie, la façon qu’elle avait de porter son regard sur moi m’intimidait, mais embrasait mon corps et mon cœur. Parfois, elle parlait avec moi quelques minutes, puis s’excusait de ne pas rester plus longtemps ; elle montait dans sa chambre ou allait rejoindre son ami. Quand je dormais à l’hôtel, je ne cessais de penser à elle. J’appréciais de plus en plus ...