1. Perte de maîtrise


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, volupté, entreseins, facial, Oral 69, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... main contre ma fente détrempée, je proteste d’un long gémissement de plaisir et me serre contre lui.
    
    Il ne lui reste plus qu’à me ramasser à la petite cuillère. Il frôle à la fois mes seins, mes hanches, mon visage, mes cuisses et mes fesses de toutes ses mains. Il me hisse dans ses bras, et me dépose pantelante dans sa voiture.
    
    Je reste muette à le contempler pendant tout le trajet qui nous mène…, aucune idée où ? Je me contente d’admirer son visage régulier et sensuel, d’imaginer où glisser mes prochains baisers. Je suis folle d’envie de ses mains sur mon corps. Toutes les tensions accumulées ces derniers temps se libèrent, un barrage craque. Je suis une femelle en chaleur, avide de se faire bourrer profondément par la queue de ce bel homme triste et attentionné, dont la peau douce me rend dingue à hurler.
    
    J’ai envie qu’il arrête son carrosse, me jette sur le capot et explose dans ma chatte, sans préliminaires. On prendra le temps des présentations après coup !
    
    Il commence à faire très chaud dans l’habitacle, et je constate à quelques incertitudes de conduite qu’il n’est pas insensible à mon état d’excitation. Je me contente pourtant de frôler son entrejambe, pour vérifier que nous sommes bien dans le même voyage. Sa queue a déjà une taille plus que respectable. Si ce n’est qu’un début chez lui, il va falloir que je fasse de la place pour tout mettre au chaud. Je garde ma main sur son membre, laissant aux secousses de la route le soin d’y mettre le feu. Je lui ...
    ... mâchouille le lobe de l’oreille, et me régale des senteurs raffinées qui s’y cachent.
    
    Quelques virages, trois doigts de pénétration et un petit orgasme plus tard, nous arrivons enfin chez lui.
    
    À peine la porte refermée, je m’agrippe à lui comme à une bouée de sauvetage. Je lui arrache tout ce qui me sépare de sa peau en une fraction de seconde. Mon bassin cherche sa queue, je me frotte sans retenue sur sa cuisse, laissant des traînées de mouille sur ses beaux pantalons. Bien fait, il n’avait qu’à les enlever plus vite !
    
    Il se bat brièvement avec mon soutien-gorge, tente d’admirer mes seins au passage. Je les écrase contre sa poitrine et en excite les pointes contre sa toison. Je ne supporte aucune distance entre sa peau et la mienne. J’ai plus besoin de sa chaleur et de son odeur pour survivre à l’instant présent que d’air dans mes poumons.
    
    Je me caresse contre lui avec tout ce que je trouve de disponible, le submerge de baisers, lèche ses tétons, branle sa queue enfin libérée de son boxer, suce son nombril parfaitement dessiné, malaxe ses pectoraux, enfonce mon genou contre ses couilles gonflées à ras bord.
    
    Tournant autour de lui comme une toupie, je masse ses fesses contre mon bas ventre, pique ses reins de la pointe de mes seins douloureux d’envie, et surtout, surtout, l’empêche d’aller en direction de la douche. Je le veux nature, et maintenant !
    
    Il est habile de ses mains, et diaboliquement agile de sa queue. Je la sens partout autour de moi, sous mes ...
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