Les deux femmes cyclistes...
Datte: 24/01/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... salive. Saisissant la base de ma queue, je me suis pressé contre l’orifice. Forçant doucement le passage. M’enfonçant un peu plus à chaque mouvement. C’était chaud, c’était étroit, mais c’était aussi très bon. Surtout que tour à tour, la coquine jouait avec son anus. Le décontractant, puis le contractant le plus fort qu’elle le pouvait autour de ma queue. Provoquant des sursauts de plaisir dans tout mon corps.
- Il m‘encule… il m‘encule… gémissait-elle.
Je me suis mis à la bourrer. De toute la longueur de ma verge. Et rapidement j'ai joui en elle. Avec l’impression de déverser des litres de sperme dans son cul.
Vidés de toute énergie, satisfaits, apaisés, j’ai été reprendre mon souffle sur le divan. Pour y découvrir Maude, avec un regard dans le vague, perdu, cherchant le mien sans arriver à le trouver. Je le sentais. Elle n’allait pas tarder de jouir. Comme pressenti, son corps s’est crispé. Elle s’est saisi de la tête de Clarisse, toujours entre ses jambes et la collait contre son sexe. Tout en jouissant, sa bouche laissait échapper un long râle allant crescendo.
Quelques minutes plus tard alors que Maude prenait une douche, je surpris Clarisse sur la cuvette des WC. Me voyant, par pur réflexe elle a serré les jambes. Je me suis approché.
- Laisse-moi de voir ...
... pisser. Lui demandais-je.
Incrédule, elle m’a regardé avec des yeux ronds, avant de desserrer l’étau de ses cuisses.
- Ça te plaît de voir une femme faire pipi ?
- Tu ne t’imagines même pas. Écarte un peu plus, que j‘en vois un peu plus.
Elle s’est exécutée, écartant ses jambes au maximum. J’avais à cet instant, envie d’être sale. Sous son regard témoin, j’ai placé deux doigts sous son jet d’urine clair puis je les ai porté à ma bouche pour les goûter.
- Délicieux ! Commentais-je.
- Oh mon dieu… Mais… Mais. Furent les seuls mots qu’elle put prononcer.
J’ai réalisé la même opération à plusieurs reprises, avant de lui demander :
- Met toi à quatre pattes, je vais te baiser en levrette.
Clarisse ne s’est pas fait prié. Elle s’est levée, s’est retournée et s’est mise dans la position demandée, me présentant sa croupe. Je l’ai baisé tout en lui malaxant les nichons. Lui fessant les fesses avec mon ventre. J’ai finis par lui enfoncer deux doigts, puis trois dans l’anus dilaté par la précédente pénétration. J’e l’ai longuement branlé, avant de les ressortir et les porter à mes narines. Ce fut son odeur qui déclencha mon plaisir.
Je n’ai plus de mots pour décrire ce qui a suivis. Je le garde pour moi. Gravé dans ma mémoire. Et il n’est pas près de s’estomper…