Les deux femmes cyclistes...
Datte: 24/01/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Alors que j’étais en train de tondre la pelouse j’ai vu passer deux cyclistes féminines. Jusque là rien de bien particulier, me direz-vous. Surtout qu’ils ont passé des dizaines de vélos par jour, sur cette petite route tranquille. Mais ce qui l’était moins par contre, c’est qu’elles ont ralenti en me voyant. Je les ai aperçu se dirent quelques mots, et l‘une d’elle c‘est même mise à rire avant de forcer de nouveau sur leurs pédales, et disparaître de mon champ de vision. Pas pour longtemps, puisque quelques minutes plus tard, elles ont réapparu. Prenant même la peine de stopper à la hauteur de mon portail, avant de me faire un signe de la main pour que je m‘approche. J’ai coupé le moteur de la tondeuse et je me suis rendu jusqu’à elles.
- Bonjour Monsieur. Vous possédez là, un beau jardin. Fit la brune. La quarantaine épanouie, grande, solide, possédant une beauté classique avec sa lourde chevelure, ses yeux noirs au regard ferme à la peau mate. Type méditerranéenne. Elle portait sur le cul un short en jean, avec plus haut un corsage de coton rose.
- Merci.
- Il sera possible que l’on puisse remplir nos gourdes ?
- Bien sûr ! Avec plaisir, entrée donc. Dis-je, en leur donnant accès à ma propriété.
- Merci monsieur, firent-elles en cœur. Poussant leurs bicyclettes dont l’une avait une remorque attelé à la selle. Après avoir appuyer leurs montures contre le mur, elles se sont avancées jusqu’au tuyau d‘arrosage, gourde en main.
- Vous faites quoi ? Leur ...
... demandais-je.
- Et bien nous nous apprêtons à remplir nos gourdes.
- Oui je veux bien mais pas là… pas à même le tuyau. Cela risque de donner mauvais goût à l‘eau.
- Où ça alors ? A lancé la plus petite. les cheveux teint en roux. Elle aussi en short, avec un tee-shirt bleu au décolleté carré, avec de divers motifs sur la face. Des lueurs coquines au fond de ses grands yeux. Avec un visage mince à la peau de nacre, aux lèvres charnues, avec un petit nez droit.
- Je vous propose de remplir vos gourdes dans la cuisine. Là où je pense que l’eau est la meilleure.
- C’est que nous ne voulons pas vous dérangez. Surtout si Madame s’y trouve.
- Ne vous inquiétez pas de ça, elle est au travail.
- Bon, alors dans ses conditions vous en suit. Fit la petite, sourire aux lèvres.
Une fois sur le lieu je les ai invités à remplir leurs gourdes à même le robinet.
- Je peux vous proposez un café ?
- Nous ne voulons pas vous abuser sur votre gentillesse. A lancé la brune.
- S’il nous le propose si gentiment, pourquoi ne pas accepter ? A répliqué la plus petite.
- Je vous en prie prenez place autour de la table. Je m’occupe du café.
- C’est joli chez vous. Fit la rousse. Toujours avec le même sourire aux lèvres.
- Merci, madame.
- Moi c’est Maude, et la grande dinde Clarisse.
- Moi c’est Alain.
- Enchanté Alain, firent-elles en cœur.
Mais alors que je m’affairais à faire le café, j’ai entendu des chuchotements dans mon dos, suivis de ricanements. ...