1. Les deux femmes cyclistes...


    Datte: 24/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... Maude a exhibé son sexe humide au milieu d’un triangle de poils noirs, trop parfait pour être naturel. Clarisse, sans se souciait de ma présence, a poussé sa belle-sœur a s’installé sur le divan. Dans une position plus confortable pour elle. Puis à quatre pattes elle a approché ses lèvres du sexe, glissant sa langue aussi profonde qu’elle le pouvait. Très vite de longs râles vibrants, sont sortis de la bouche de la brune. C’est alors que mon regard fut comme aimanté par le cul de Clarisse dressé vers moi.
    
    Je me suis pris à imaginer son intimité à travers le short. L’imaginant très brûlante. Et que dire de ce cul. Fièrement mis en valeur par les reins cambrés. Avec cet œil unique que je devinais caché derrière la toile.
    
    C’était trop, beaucoup trop pour pouvoir résister plus longtemps à la tentation de baiser ce short. J’ai pour ça, abandonné mon poste d’observation, pour m’agenouiller derrière le cul. Maude, elle, gémissait toujours sous les coups de langue de sa belle-sœur. Qui focalisé à donner du plaisir à sa compagne, n’a pas réagi lorsque j’ai fait remonté son t-shirt jusqu’à sa poitrine. À la différence de la brune, elle, elle ne portait pas de soutien-gorge. J’ai frotté les tétons gonflés contre mes paumes, tout en massant mon érection contre son fessier. Entre deux coups de langue, Clarisse poussait de petits gémissements.
    
    J’ai profité de son trouble pour déboutonner son short, avec des doigts tremblotants. Trop impatient de faire connaissance avec son cul. ...
    ... J’avoue avoir eu un grand mal à le lui défaire, tant il lui collait à la peau. Attirant dans sa descente la culotte en coton rose. Arrivé aux genoux, la gentille Clarisse m’a aidé. En levant une jambe puis l’autre afin de me facilité le passage. Là devant mes yeux éblouis, son cul nu. Je n’ai pas pu résisté de déposer un baiser sur chacune des fesses tendues. Une odeur puissante s’en dégageait. Du bout de la langue, j’ai effleuré le petit trou. Un gémissement plus fort que ceux précédemment, s’est échappé de sa bouche. Exhorté, j’ai caressé les abords du petit trou, formant des cercles concentriques qui doucement me rapprochaient du centre. Les plaintes de Clarisse se sont fait plus fréquents, plus longs, plus profonds.
    
    Ma langue s’est faite plus audacieuse. S’enfonçant dans son cul, sentant les muscles se contracter autour. Je l‘ai alors retiré légèrement, pour mieux revenir à la charge, l‘instant après. M’enfonçant toujours un peu plus loin à chaque retour. Elle a gémit, sans pour cela s’arrêtait de lécher Maude. Son corps s’est tendu, s’est cambré au maximum au point que son cul est venu à la rencontre de ma langue dans l’espoir d’être violé plus profondément.
    
    La situation est devenue intolérable. Il fallait que je me vide dans ce cul ouvert, détendu, prêt à me recevoir. Me sentant derrière elle, Clarisse a appuyé ses fesses contre mon sexe. Par mobilités du bassin, j’ai guidé mon gland entre ses sphères, jusqu'à ce qu'il touche son petit trou trempé de ma propre ...