1. Les deux femmes cyclistes...


    Datte: 24/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... sur toute sa longueur. S’embobinant autour dans un geste possessif.
    
    Avec une mine gourmande, elle a parcouru des lèvres ma verge. De la racine jusqu'à la pointe. Où elle les a posé sur mon gland. Elle la embrassait, la léchait, allant jusqu’à l’agacé d'une langue pointue et experte. Puis la bouche s’est ouverte. Assez grande pour me l‘enfourner. Où elle s’est mise à me la sucer, me l’aspirer, pour enfin l’engloutir dans en entier. Avec un mouvement de pompe, elle a fait monté et descendre sa tête. Tout en la suçant. Comme si ma verge avait été un sucre d'orge. Alternant les caresses de sa main et celle de sa bouche, auxquelles mon bassin a répondu par ses propres mouvements.
    
    Avec tout ça je n’ai pas vu revenir Monique. Qui tenait dans sa main une culotte que j’ai reconnue étant celle de ma femme. Sous mes yeux témoins, elle la porta à ses narines avant de la faire humer par Clarisse.
    
    - Je devine qu’elle appartient à votre femme.
    
    - Vous avez bien deviné.
    
    - Elle sent bon de la moule ! Fit Clarisse.
    
    - Je confirme. Répliquais-je.
    
    C‘est alors que la brune s’est redressé. Me laissant seul avec mon érection. Ce liant avec sa belle-sœur, dont sa langue est allée au devant de la sienne. Leurs corps s’appelés au travers les vêtements. Les doigts de Clarisse se sont glissés sous le tee-shirt de sa belle-soeur, malaxant se qui ce trouver en dessous.
    
    - Cela vous dit qu’en aille s’installé dans le salon ? Fis-je.
    
    - Oui… oui, pourquoi pas ! Répondit Maude en ...
    ... faisant passer son tee-shirt par-dessus sa tête. M’exhibant son soutien-gorge en dentelle blanche.
    
    Il a fallut que je patiente jusqu’au salon pour avoir le plaisir de me trouver en face d’une généreuse poitrine. Mais pas le temps de m’attarder dessus que déjà Clarisse a embouché un téton, cachant l‘autre avec son visage. Ce qui a arraché un halètement à Maude. Qui loin de rester inerte, s’est empressée à déboutonner le short de la grande brune. Et d’investir le lieu d‘une main fureteuse. Je n‘ai pas pu résister à prendre ma verge toujours en érection, au creux de la paume de ma main.
    
    J’ai lu sur le visage de la même Clarisse une jouissance imminente. Pas besoin d’avoir une grande imagination pour savoir quelle sorte de ballet la petite rousse faisait adopter à ses doigts, au fond de sa culotte.
    
    Puis elles ont changé de position. Clarisse s’est agenouillée au pied du canapé, entre les cuisses de Maude, dont son regard était collé au mien.
    
    À l’aide de ses deux mains, la même Clarisse lui a fait descendre d’un seul bloc, le short et la culotte, le long des jambes et a jeté le tout à mes pieds. Comme si elle avait deviné mon vice. Je ne me suis pas gêner pour m’en saisir. J’ai extirpé la culotte blanche pour la porter à mes narines. De toutes les dernières culottes que j’avais humé celle-là mérité la palme d‘or. C’était purement de l’extrait de femme en rut. Une odeur qui aurait rebuté bien nombre de personne. Mais pas moi : Un vrai aphrodisiaque.
    
    Du côté du divan, ...