Exhibitions - Histoires de Sexe

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... soupir bruyant. Insérant mon doigt un peu plus avant, j’effleure son clito. Un «aaaah »… s’échappe de sa bouche. Mon majeur glisse tout le long du sillon intérieur, jusqu’à l’entrée de son vagin, en fait deux ou trois fois le tour.

— C’est bon… que c’est bon ! dit-elle à haute voix.
— N’en fais pas trop !
— J’en rajoute pas… Je suis excitée… Continue, m’avoue-t-elle discrètement.

Je me mets à la place de « notre » voyeur. Entendre ce qu’il vient d’entendre, ne peut que lui donner envie d’en voir plus. Le surveillant du coin de l’œil, je le vois se déplacer doucement. Il s’est déchargé de son sac, plus discret pour longer le talus et se trouver un angle de vue plus précis. Il marche en canard, deux ou trois pas à la fois.

— Notre poisson est ferré, il cherche sa place… il ne tardera pas à se trouver au meilleur endroit.
— Ne t’arrête pas, continue…
— À qui t’adresses-tu ?
— À toi, et à lui en même temps… Au fait, il est comment ?

Reprenant mon pelotage avec amour, je suis toujours les faits et gestes de notre gaillard. Il se trouve là, à moins de cinq mètres de nous. Sa tête, seulement, dépasse du talus, à la hauteur du sexe que je tripote.

— Pas mal… dans la trentaine. Il est là, au niveau de ton entrejambe, en bas du talus. Je réponds, tout doucement, au creux de son oreille.
— Regarde comme je mouille, ça m’excite… je vais jouir ! dit-elle tout haut.

L’invité surprise ne peut pas ne pas avoir entendu. Le temps d’une seconde, je me mets à sa ...

... place, m’imaginant mes éventuelles réactions. Cela m’excite, je me mets à bander tout comme lui doit être dur, c’est sûr.

M vient de jouir, son plaisir lui coule le long des cuisses. Je redouble mes caresses, lui mettant deux doigts dans son bénitier. J’enfonce et ressors mes doigts avec vigueur à tel point qu’un clapotis sonore s’échappe de cette grotte à chacune de mes allées et venues. Tout en continuant de la fouiller, je le regarde droit dans les yeux et d’un petit signe de la tête, lui fais comprendre qu’il a l’autorisation s’approcher encore plus. Surpris, il n’ose pas aussitôt. Je réitère mon signe en lui souriant. Là, sans hésitation, il répond à mon invitation. S’avance jusqu’à un mètre des pieds de M qui n’avait rien vu. Elle se tortille sur le dos, yeux fermés et les lèvres pincées, s’y passant quelques furtifs coups de langue. Notre homme profite pleinement de la jouissance de ma belle, pouvant même sentir le parfum des effluves s’échappant de cette si belle chatte. Je continue à la pénétrer d’une main et de l’autre, je branle son clitoris. Se retournant sur le côté, elle me dit :

— Fourre-moi, j’ai envie de sentir ta bite…

À ces mots, l’étranger n’y tenant plus, s’installe en tailleur, sort sa bite et commence à se masturber gentiment. C’est à cet instant que ma Chérie le voit, si près…

— Ooooh… Tu aurais pu me le dire tout de même…

Gêné, l’invité, arrête son auto-caresse se demandant qu’elle contenance prendre. Je n’ai pas eu le temps de lui ...