Exhibitions - Histoires de Sexe

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... répondre.

— Non, continuez c’est agréable, pour une femme, de voir un homme se masturber. C’est, en quelque sorte un hommage. Votre présence redouble mon plaisir. Vous avez une belle queue !

Il se remet à l’œuvre faisant coulisser sa main de haut en bas, pas trop vite, tirant sur son prépuce, décalottant son gland violacé. Remontant le long de sa tige, il le fait disparaître puis réapparaître. M le regarde se branler, là, à portée de main. Obnubilée, le regard sur cette bite et ces bourses qu’il se masse en même temps. Parallèlement, je continue à la fouiller. Je lis dans le regard du mâle qu’il n’a qu’une seule envie maintenant, celle de toucher cet abricot juteux et exploser sa jouissance en passant un doigt pour sentir cette cyprine jouissive.

— Je peux toucher ? ne tarde-t-il pas à dire en me regardant.

Je ne réponds pas mais me retourne vers M, lui faisant comprendre que la décision lui appartient.

— Juste un peu, alors… un petit peu, c’est tout !

Je retire ma main, laissant le champ libre. Il allonge son bras jusqu’aux seins de ma déesse, pose sa main délicatement, les caressant, les soupesant, de son autre main, il continue de se masturber doucement, voulant faire durer le moment indéfiniment et retarder son explosion le plus longtemps possible. Laissant les choses se dérouler, je porte mon regard vers le lac. En bas du talus, de chaque côté de la trouée, deux hommes se masturbent en assistant à cette scène. Un jeunot, à peine vingt ans, à gauche et ...

... un plus vieux, dans les soixante bien tassés, à droite. Ils s’astiquent le morceau virilement. Leur souriant, je reviens vers ma belle. « L’invité » a délaissé les seins, il caresse l’intérieur d’une cuisse, du genou jusqu’en haut et redescend. M aussi, la main sur le pubis, se masturbe de deux doigts en rythme avec son peloteur. Elle vibre, se cambre, soupire. Je devine son envie de sentir la main se poser sur son sexe, son besoin immatériel de se sentir « visitée ».

Je me trouve dans un état d’excitation incroyable. Voir ma femme offerte, se faire caresser par un inconnu. La voir mouiller d’excitation, d’envie et de plaisir. La voir dans l’attente de se faire fouiller en regardant les deux autres se branler car, elle les a vus, ces autres branleurs.

Je prends ma bite raide à la main et me caresse, moi aussi.

— Je peux ? me demande-il en me regardant.

Je comprends qu’il me demande la permission de glisser ses doigts dans cette chatte baveuse à l’excès. Sachant que c’est l’attente de ma belle, d’un battement de cils, je lui donne mon blanc-seing. Délicatement, il se penche au-dessus de M, passe sa main à plat sur les grandes lèvres écartées, charge ses doigts de foutre lubrifiant. Sur ce toucher, elle écarte encore plus sa fourche, lui livrant tout son passage. Tortillant son poignet de droite à gauche, en douceur, il introduit en une seule fois quatre de ses doigts. Les enfonçant avec précaution jusqu’à ce que son pouce lui serve de garde.

Elle ne s’écarte pas, ...