1. Le temps suspendu


    Datte: 19/01/2020, Catégories: ff, jeunes, couleurs, poilu(e)s, amour, miroir, odeurs, Masturbation massage, Oral init, exercice, confession, Auteur: Coqueluche, Source: Revebebe

    ... sépare d’elle et m’agenouille à son flanc. Mon regard caresse ses courbes épanouies, surtout celles de ses fesses. Pourquoi Allah a-t-il eu l’idée saugrenue de mouler de la sorte le postérieur féminin ? De nous coller ces deux hémisphères charnus au bas du dos ? Et de dissimuler entre eux le double trésor de nos désirs ? Contempler cette croupe si parfaite me fait monter l’eau à la bouche… j’y mordrais avec bonheur !
    
    Mais Cassandre ne sait rien de mes réflexions callipyges. Elle s’en fout ! Ses reins continuent à rouler, toutefois le mouvement en est plus ample maintenant qu’elle est libérée de mon poids. Et sa main peut se faufiler subrepticement sous son ventre pour aider à la quête du plaisir. Ses jambes se séparent, s’ouvrent comme un sésame. Son sexe apparaît dans l’entrecuisse. Sous mes yeux, les grandes lèvres tuméfiées, s’écartent comme un calice sur la corolle des petites lèvres en pleine floraison tropicale. Elles expriment toute leur exubérance étrange, terriblement humide. Les doigts de Cassandre viennent y trouver refuge, s’enfoncent dans les profondeurs de la fleur, font de rapides va-et-vient avant de se retirer pour affronter le clitoris. La voir se caresser ainsi, découvrir la manière dont elle se masturbe sans doute lorsqu’elle est seule, observer l’harmonieux ballet de ses doigts sur son sexe, tout cela me bouleverse. C’est comme si je lorgnais par la fenêtre une scène interdite : j’ai l’impression d’être une voyeuse indiscrète.
    
    Ma main à son tour, ...
    ... s’insinue entre les cuisses de la belle, glissent sur les nymphes épanouies, rejoignent ses doigts. Je les caresse tandis qu’ils tournent comme des derviches fous : on dirait qu’elle veut dépulper son clitoris. Mon index remonte, s’incruste sans peine dans sa vulve enchifrenée et s’enfonce en elle : c’est comme si je l’enfouissais dans un pot de gelée chaude. Mon pouce repose, inerte, sur son anus. Je l’amarrerais bien là, il suffirait que je force un peu, juste un peu… Mais non, je me contente d’appuyer doucement pour qu’elle perçoive bien ma présence sur ce lieu trop intime.
    
    Elle a poussé un cri de surprise et sursauté quand elle a senti le double mouvement, celui de mon index la pénétrant et celui de mon pouce se postant sur son œillet. Ses cuisses se sont refermées dans un geste réflexe comme la moule lorsqu’on glisse la lame du couteau entre ses valves entrebâillées pour vérifier sa fraîcheur ! Ma main est emprisonnée bien au chaud, contre son sexe. Un moment, je la caresse ainsi, en faisant aller et venir mon doigt en elle. Elle s’agite, gémit, émet des sons bizarres.
    
    — Attends, lui soufflé-je dans l’oreille. Tourne-toi.
    — Axel, grogne-t-elle, j’y suis presque… Prête à jouir…
    — On a le temps…
    
    Elle m’obéit en soupirant. À peine sur le dos, sa main se jette sur son sexe… Ce n’est pas vrai ! Une vraie morte de faim ! J’ai dû batailler un peu pour qu’elle la retire…
    
    — Ceci est mon périmètre, lui expliqué-je en dessinant un cercle qui englobe son buste, son ...
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