1. La vengeance et la haine


    Datte: 18/01/2020, Catégories: fh, ff, hplusag, oncletante, copains, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, délire, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... qualificatif qui conviendrait. Un bras d’enfant ? Même pas, ou alors celui d’un ado ! Même au repos, notre gaillard aurait fait honte à un cheval…
    
    Alors, bien sûr et quelle que soit la taille de l’objet, nous n’allions pas rester comme des connes… Quelques gestes précis, quelques léchouilles et cet invraisemblable mandrin pointait enfin vers le ciel. Le branler ? Oui, bien évidemment ! Mais en n’oubliant pas que d’une part il y avait largement la place pour nos quatre mains et qu’aucune de nous deux ne parvenait à en faire le tour ! L’emboucher ? La mince affaire ! Rien que prendre un cinquième de cet inconcevable chibre relevait quasiment de la mission impossible, tant cela imposait d’ouvrir la bouche à s’en décrocher la mâchoire. Cependant, dans ma tête, il y avait le feu.
    
    Sans Mario, notre projet de départ n’aurait pas eu la moindre chance d’aboutir… Et, tout au fond de moi, une idée me trépanait : cette queue-là, il me la fallait. Je voulais absolument savoir si j’arriverais à l’accueillir dans mon ventre… D’une certaine façon, j’étais tel l’homosexuel qui, passant devant la colonne Vendôme, se serait dit « non, ce ne serait pas raisonnable » et pourtant…
    
    J’en parlais à Jennifer, mais en français, de telle façon que Mario ne capte pas notre conversation.
    
    — Mais tu es folle ! Il va te déchirer ! Non, on va le branler, le lécher, le sucer si l’on y parvient, et on va le faire jouir, un point c’est tout !
    — Non, je veux savoir… Et puis tu sais, je doute fort ...
    ... qu’il parvienne à me faire souffrir davantage que ces enculés des services d’Ernesto.
    
    Je me tournais alors vers notre ami et, reprenant l’espagnol, je lui expliquais ce que je comptais faire. Il sourit.
    
    — Fais tout ce que tu veux, mais n’oublie pas ce que je t’ai dit : si tu te défiles, je ne réponds plus de rien…
    
    Je passai alors ma main entre mes jambes, et j’y découvris sans surprise une caverne inondée, que je m’empressai alors de branler furieusement, autant pour la faire mouiller encore un peu plus que pour essayer de l’ouvrir autant que je le pouvais. Ce manège dura bien cinq minutes, jusqu’à ce que je m’adresse de nouveau au propriétaire de ce véritable monstre.
    
    — Tu vas te mettre sur le dos et tu vas me laisser faire. Si ça ne marche pas, on s’y prendra autrement, mais je ne te laisserais pas partir sans avoir au moins essayé…
    
    Se placer au-dessus de lui, c’était assez cocasse : la taille de l’objet était telle que n’avais qu’à tout juste plier les genoux pour que son sexe soit en contact avec ma vulve. Je retins mon souffle et commençai à m’empaler sur lui… Enfin, empaler est peut-être un bien grand mot puisqu’il me fallut une éternité pour ne m’enfiler qu’une toute petite partie de son chibre. J’avais l’impression que c’était un poteau de pâture qui s’enfonçait en moi…
    
    Monter et descendre, c’était le plan, et il semblait qu’il ne fonctionnait pas trop mal, puisque mon reflet dans la glace m’informait qu’à chaque aller et retour, je parvenais à gagner ...
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