1. La vengeance et la haine


    Datte: 18/01/2020, Catégories: fh, ff, hplusag, oncletante, copains, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, délire, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... un ou deux centimètres. J’avais mal ? Oh oui, et pas qu’un peu ! Je me sentais étirée, à deux doigts d’être déchirée, cela tapait dans le fond depuis un bon moment déjà, mais je ne voulais rien lâcher. Ce fut Mario qui m’arrêta.
    
    — Arrête ce petit jeu, ça va mal finir. Regarde, il n’en reste qu’un tiers et crois-moi, bien peu de femmes ont réussi à aller jusque-là. Allez, viens contre moi…
    
    Je m’allongeai alors sur ce torse grand comme un terrain de football et j’eus soudain l’impression d’être une gamine qui faisait un câlin dans les bras de son père… Sauf que les pères, par bonheur, ne ramonent pas leur fille ! Mario faisait ça avec une tendresse pour le moins inattendue, faisant visiblement très attention à ne pas s’enfoncer trop loin en moi. À chaque aller et retour, la douleur était plus intense, mais le plaisir aussi. Je ne voulais surtout pas qu’il s’arrête… Et encore un peu moins lorsque le premier orgasme me saisit, suivi presque immédiatement d’un deuxième. Mon partenaire souriait.
    
    — Tu sais que t’es un spécimen, toi ! Je n’ai jamais vu ça !
    
    Je n’entendis pas la fin, un troisième orgasme venait de me terrasser… Et la giclée de sa jouissance à lui fut tellement violente qu’elle manqua de m’éjecter de ce monumental gourdin.
    
    Lorsque je me déboîtai, quelques instants plus tard, c’était une véritable rivière de foutre blanc qui s’écoula de ma chatte tandis qu’elle se refermait doucement. Je me tournai alors vers Jennifer :
    
    — Tu sais si rien ne ...
    ... m’empêchera de danser demain, je crois bien que pour le radada, tu y iras seule… Je vais avoir besoin de me remettre.
    
    ---oooOooo---
    
    Quinze jours plus tard, l’Airbus qui nous ramenait du Salvera posa ses roues en France, mais, contrairement à ce qui nous était arrivé vingt ans plus tôt, j’avais un point de chute où aller poser mes valises. Jennifer, quant à elle, avait décidé de rester avec moi : elle ne se sentait pas de retourner dans son Kosovo natal où plus personne ne l’attendait et où l’avenir ne lui semblait pas beaucoup plus rose que celui qui lui aurait été promis au Belizera…
    
    Enfin, quand je dis un point de chute, c’était en fait très théorique, dans la mesure où cela faisait quasiment un an que mes parents et moi avions disparu. Dès lors, qui aurait tenu la boîte puisque le patron n’était pas là ? En général et dans ce genre de situation, les banques, les assurances et les impôts ne sont pas les derniers à réclamer leur dû tout en sachant que c’est impossible ! Sans oublier que notre cher Ernesto aurait très bien pu envoyer quelques sbires à lui pour foutre le feu à tout cela, histoire de clore le dossier du frangin une bonne fois pour toutes…
    
    Mais, à ma grande surprise, non seulement le bouclard n’avait pas brûlé, mais, en plus, il semblait fonctionner du tonnerre de Zeus comme en témoignait la bonne quinzaine de vieux tromblons qui stationnaient sagement dans la cour en attente de leur restauration. Comment cela avait-il été possible ?
    
    La vérité – je n’allais ...
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