La vengeance et la haine
Datte: 18/01/2020,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
oncletante,
copains,
humilié(e),
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
délire,
aventure,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... je n’aurais cru que je pourrais un jour reprendre un tel plaisir à sucer le sexe d’un homme.
Bien souvent, le bouquet final n’était pas mal non plus… À proprement parler, Roberto n’avait pas véritablement un gros sexe, mais il savait remarquablement s’en servir dans tous les cas de figure ! Que ce soit pour me ramoner avec tendresse ou pour me bourrer avec fureur, ce type était une crème… À tel point que je crois bien que, dans d’autres circonstances, j’aurais bien fini par ne plus rien lui demander en échange de ses expéditions dans la stratosphère.
Le plus drôle dans cette affaire, c’est que d’une part notre cagnotte n’en finissait plus de grossir et que d’autre part, notre ami Roberto s’était naturellement épanché sur sa bonne fortune et qu’ils étaient désormais de plus en plus nombreux à savoir exactement comment m’expédier sur orbite.
Mais, voyez-vous, l’on a beau essayer de faire carrière dans le putanat, l’on n’en reste pas moins femme… Et il en était un qui, tout en ne profitant jamais de rien – il était allé jusqu’à refuser l’argent que nous lui proposions en échange de sa protection – était toujours là, toujours présent et toujours prompt à nous sortir d’une mauvaise passe, passe étant véritablement le mot qui s’imposait dans notre cas. Un jour, Jennifer et moi, nous sommes allées le voir.
— Mario, c’est pas normal ce qui se passe…
— Pardon ?
— T’es toujours là et tu ne veux jamais rien. Tu dois nous entendre jouir à n’en plus finir et tu n’en ...
... retires aucun plaisir…
— Et admettons que ce soit le cas : qu’est-ce que vous me voulez ?
— Ce qu’on te veut ? Rien, en fait, sauf que le jour où tu as envie de passer un bon moment avec nous, tu nous le dis. On ne te fera pas payer, tu sais…
— Vous êtes certaines de ne pas le regretter ?
— Et pourquoi donc le regretterions-nous ? Dans un lit, tu ne nous fais pas peur…
Il avait souri.
— Va savoir… Mais je vous préviens, quand je suis lancé, j’ai beaucoup de mal à m’arrêter… Et je ne réponds de rien si vous vous dégonflez au moment fatidique.
Mais où voulait-il en venir, notre ami Mario ? La réponse, nous l’eûmes quelques jours plus tard, l’une de ces très rares journées où aucun navire n’accoste et où il n’y a donc pas qu’en mer que c’est le calme plat.
— Tu nous veux toutes les deux, j’imagine ?
— Puisque vous me le proposez si gentiment…
Habillé, notre homme était déjà impressionnant, mais alors, torse nu, il y avait de quasiment avoir peur ! Non content de dépasser allégrement les deux mètres, Mario était une véritable montagne de muscles, mais c’est lorsqu’il ôta son froc que nous comprîmes subitement pourquoi il avait eu tant de scrupules à accepter notre proposition.
Bien avant Ernesto, des queues, j’en avais déjà vues et j’en avais pratiquées, aussi. Des petites, des grosses, des minces, des tordues, des blanches, des noires, des circoncises… et quelques manches de pioche, aussi. Mais là… Même avec le recul, je ne parviens toujours à trouver un ...