Brousse à reluire
Datte: 18/01/2020,
Catégories:
fh,
fagée,
couleurs,
extracon,
inconnu,
vengeance,
Oral
69,
pénétratio,
hdanus,
bougie,
sorcelleri,
Auteur: Mitchoum, Source: Revebebe
... j’ai senti le parfum. Comme je reste encore très excité par mes envies de la questionner et surtout de la toucher, elle me devine et me dit d’une voix calme et pénétrante :
— Ne parle pas, ne bouge pas, laisse-toi faire…
Puis, retournant à son mutisme, elle laisse courir ses doigts comme des papillons, me révélant au passage des sensibilités tactiles que je ne me connaissais pas. Ma hampe dressée fait, elle aussi, l’objet de ce massage divin qui tantôt me pétrit, tantôt me chatouille, tantôt me réchauffe. Je finis par me soumettre avec une indicible béatitude, partagé entre ces ondes de plaisir qui me parcourent et la perception des mouvements de ce corps qui ne cesse de me frôler, invisible.
Et puis soudain, elle me pousse sur le bord de la couche, s’allonge à ma place, me met dans les mains son pot de crème avec simplement ce mot :
— À toi.
La chose est tellement inattendue. Je prends sur les doigts un peu de crème et je pars, tremblant d’une excitation craintive, à sa découverte. À la différence de ma première visiteuse, l’absence de contact avec celle-ci m’a jusqu’ici laissé dans une ignorance totale de sa plastique, de son gabarit et de son âge. Mon désir sexuel est complètement retombé, je suis maintenant à mille lieues de gestes érotiques.
Je me sens comme un entomologiste qui vient de découvrir une colonne de fourmis et qui s’apprête à explorer la fourmilière. Ou bien comme on entre dans une cathédrale, envahi d’une religieuse émotion. Sous mes ...
... mains, son corps est parfaitement détendu, ses bras et ses jambes abandonnés sont à la fois lourds et mous comme des poupées de chiffon. Sa peau elle-même répond à mon contact non par des frémissements, mais comme vibre la caisse d’un violoncelle sous l’archet. Au passage de son cou, de ses seins qu’elle a larges et lourds, je reçois avec émoi la chaleur qu’elle me donne.
Je suis tendu comme un acteur sur la scène, le feu brûle dans ma poitrine, mais ma gorge n’est pas nouée. Je lui demande…
— Comment tu t’appelles ?
…sans attendre une réponse qui vient bien plus tard, alors que je ne l’attendais plus :
— Fleur.
Je suis descendu jusqu’à ses pieds, elle a accepté que je lui en caresse les plantes, et je remonte maintenant le long des mollets et l’intérieur des cuisses. Et je m’arrête dans mon geste, envahi de nouveau par la proximité palpitante de sa motte que je crois deviner humide et odorante.
Elle a bien compris mon trouble et, pour toute réponse, alors qu’elle était jusqu’ici restée inerte, sa main part en direction de mon entrejambe et me recueille délicatement les bourses. En même temps, elle écarte les jambes. Mes doigts viennent peigner sa toison, parcourent délicatement le contour de ses lèvres gonflées, et puis je suis pris du désir soudain d’y enfouir le visage, de la flairer, de la lécher, de goûter son nectar. Nous voilà tête-bêche.
Je ne sais pas très bien si elle a reçu ma semence dans sa bouche, mon plaisir est venu tellement brutal, je suis ...