L'abbaye de La Sault d'Omy. (1)
Datte: 17/01/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... pendant qu’il suce, et vous Madame, s’il vous plait, après vous être fait enconner par mon frère, tendez votre cul à Gabriel pour qu’il l’élargisse. Mettez-vous face à moi, à côté de l’abbé et de votre fils. Allons Gabriel, enculez la marquise !
— Si Monsieur le désire.
— Comment si je le désire ? Je l’ordonne !
Ma mère obéit et même en détournant le regard, je pus voir les pieds de Gabriel qui se dénudait, ses vêtements tomber à terre et j’entendis ma mère;
— Ah le butor, comme il me déchire, que son vit est gros. Êtes-vous satisfait mon ami ?
— Tudieu oui, Madame, quel beau spectacle à présent de voir ces deux culs bien pris ensemble, et voir ces beaux vits qui les pistonnent. En vérité, je ne sais lequel offre le plus beau manège.... C’est bon.. hmmm.... oui.... sucez l’abbé, sucez plus fort, je sens que ça vient.
Je croyais devenir fou ! Mon père, ou du moins celui que j’avais cru tel pendant des années, livrait ma mère à un domestique. Quelle déchéance !
Mon frère s’excitait. Il frappait de plus en plus fort et le bruit de ses cuisses claquant contre les fesses de son précepteur accusait la formidablement cadence de ses mouvements.
Gabriel intervint :
— Ah Monseigneur, le jeune monsieur est fort bien en train et, comme pour vous, on voit ses couilles voler comme les cloches de notre église au jour de Pâques. Dame, le jeune abbé doit être bien heureux...
Mon père commenta à son tour :
— Oui, comme ça bien plus à fond, plus fort. La ...
... sentez-vous bien l’abbé ? Il me semble que vous allez bientôt être enfoutré de la bouche et du cul !
Puis tout à coup, alors que mon regard était toujours fixé vers le sol, je vis les deux pieds de mon frère plantés devant moi. Je relevai la tête juste au moment où il s’achevait à coups de poignet, et le sperme jaillit en tombant, comme une chaude et lourde pluie d’orage, sur mon visage !
J’étais ivre de haine. J’aurais ma revanche !
— Amenez-moi votre frère !
Alors mon aîné me tira par les bras, toujours solidement ligotés, pour que je m’approche du chef de famille !
— À genoux !
Je n’obéis point, déterminé jusqu’au bout à sauver l’honneur.
— À genoux ! hurla-t-il !
Et il m’empoigna par les cheveux pour écraser mon visage sur l’accoudoir du fauteuil. La résistance était impossible.
— Regardez !
Et je le fis pour voir l’abbé retirer le petit sexe de la bouche d’où s’échappa un mince filet de liqueur qu’on eût pu prendre pour de la salive si le commentaire qui en fut fait ne m’avait point indiqué qu’il s’agissait là de la maigre semence qui sortait des burnes du marquis.
Les yeux ainsi ouverts, je pouvais voir l’ancien matelot qui s’agitait dans le cul de la dame du lieu, ce monstre de stupre que je ne pouvais plus appeler "mère", dont le visage particulièrement expressif disait autant sa satisfaction que ses plaintes pouvaient le faire.
À la fin de cette pénible séance, on voulut me faire promettre de garder le silence sur ces scènes de la vie ...