L'abbaye de La Sault d'Omy. (1)
Datte: 17/01/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... chevaleresque, je me précipitai pour la protéger.
La foudre me frappant n’aurait pas pu me suffoquer davantage.
— Fermez la porte Gabriel !
Gabriel était l’homme à tout faire de mon père, dévoué comme un chien, obéissant aveuglément, un colosse, ancien gabier de la Royale, sachant cogner. On ne pouvait s’y opposer sans risque. D’un poing, il pouvait assommer un bœuf !
Outre Gabriel, cinq personnes étaient dans la pièce.
Sur le lit, entièrement nue, ma mère offrait on corps à l’évêque dont les bras tendus et le dos cambré, les fesses pincées soulignaient l’effort récent pour faire jouir sa belle-sœur.
Assis sur un fauteuil, à côté, entièrement nu, mon père exhibait son gros ventre au bas duquel, à genoux officiait l’abbé Guillaume reconnaissable à sa tonsure. Celui-ci à quatre pattes était, au même moment enculé par mon frère. Quel tartuffe ! Cet être fielleux, qui était toujours premier à la chapelle et qui sodomisait le chapelain, était vraiment la plus fourbe et la plus répugnante des créatures.
Passé le moment d’hébétude, je me précipitai et lançai une bordée d’insultes à tout ce joli monde.
L’évêque s’était retiré et je voyais son gros goupillon tendu et luisant près du con de ma mère qui s’était redressée sur les coudes et qui me regardait avec effarement. Je lui reprochai son impudicité, sa lubricité et la traitai d’emblée de putain. Comment ne songeait-elle pas à se recouvrir et à disparaître à mes yeux devant la honte que devrait lui procurer ...
... une telle débauche ?
Et mon père, que j’appelai "gros cochon" et "baderne dénaturée", comment trahissait-il ainsi son sang et son honneur et devant des domestiques encore et ...
Je ne pus pas finir. Sur un geste de mon père Gabriel leva la main sur moi. Je tombai à terre et fut assommé. Le temps de reprendre connaissance et je me trouvai attaché à un pied du lit.
— ça y est, dit l’évêque. Dieu soit loué il revient à lui.
— Oui pour vous maudire ! répliquai-je.
Je reçus une violente claque.
Ma mère prit la parole.
— Mais enfin mon ami, quel est ce godelureau ? N’avez-vous rien appris à cet écervelé. Quel niais ! Et en me regardant : À certes mon fils, vous faisiez moins d’esprit quand il s’agissait d’aller au déduit avec mon amie la baronne de T****
— Certes Madame, je ne lui ai rien dit. Mais le fallait-il ? Reprit mon père
— Dame, Monsieur, voyez ! D’ailleurs vous l’avez bien fait pour notre aîné.
— Il le fallait bien Madame, l’ayant surpris avec l’abbé dans leurs coupables, mais distrayantes débauches qui, comme vous le savez, me procurent une véritable jouissance du regard. Rangez-vous l’abbé !
Cette dernière remarque s’adressait à la tête tonsurée qui était encore entre les jambes de mon père.
Je vis celui-ci dans toute sa nudité, de même que mon frère, la manœuvre l’ayant obligé à se retirer du cul du prêtre. Il empoigna son vit turgescent pour le maintenir en érection et le branla lentement, apparemment sans aucune honte, pendant que ...