1. Décalage horaire


    Datte: 15/01/2020, Catégories: fh, fhhh, profélève, grossexe, jardin, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, délire, fantastiqu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... carrément en n’ayant consciemment cure de son propre plaisir. La sensation que j’en retire est assez curieuse : Maud se débat comme une forcenée, mais elle le fait d’une manière tellement désordonnée que je n’ai pas réellement l’impression qu’elle cherche à se libérer. Quant aux grognements qu’elle émet, ils ressemblent fort à ceux qu’elle poussait, il y a quelques jours encore, lorsque nous faisions l’amour classiquement et qu’elle appréciait cette activité…
    
    Je décide d’en avoir le cœur net en me glissant légèrement sur le côté. Là, si elle veut réellement que tout cela cesse, il lui suffira de se laisser tomber contre le dossier de ce foutu canapé et il me deviendra matériellement impossible de continuer le ramonage. Une fois, deux fois, trois fois, je m’écarte quelque peu de son cul, mais c’est elle qui vient me rejoindre… Visiblement, elle ne veut pas que tout cela cesse.
    
    Machinalement, je m’essuie le front, couvert de sueur. Je grimace : je viens de poser mes doigts sur une longue estafilade due aux ongles de Maud. D’ailleurs, le sang se mêle à la sueur qui tombe en grosses gouttes sur son cul… Tandis que ma colère redouble, ses divagations me reviennent à l’esprit.« Qu’est-ce qu’elle a dit, tout à l’heure ? Qu’elle voulait être humiliée, frappée, considérée comme une pute ? Eh bien, elle va être servie ! »
    
    Depuis un petit moment, sa petite porte me fait de l’œil, si j’ose dire. Complètement détrempée de mouille, sa rosette sonne comme une délicieuse ...
    ... invitation…
    
    Alors, sans dire un mot, je sors précipitamment ma queue de son sexe pour l’enfoncer d’un seul trait tout au fond de ses reins. Cette fois, elle accueille cette intromission avec un hurlement de bête sauvage.« Ranafout’, comme on disait à une époque… » Au contraire, chaque goutte de mon sang qui tombe sur ses reins me donne envie d’aller encore un peu plus profond. Après avoir gueulé autant qu’elle le pouvait, Maud s’est tue, subitement. Elle ne se débat plus, se contentant tout au contraire d’accompagner chaque aller-retour de ma queue dans son fondement d’un mouvement de bassin qui ne laisse pas de doute : elle apprécie le traitement. D’ailleurs, de sa main libre – puisque je tiens toujours son autre bras replié dans son dos – ne voilà-t-il pas qu’elle fourrage entre ses lèvres, à la recherche de son clitoris ?
    
    L’éventualité de l’empêcher de se branler, et donc probablement de jouir, me traverse l’esprit. « Les femmes doivent être punies ! » : c’est ce que l’on me rabâche en boucle quasiment depuis que je suis revenu d’entre les morts… Quelquefois, l’impensable peut être la norme.
    
    Seulement, pour moi, le point de non-retour vient d’être franchi. Et puis, au besoin, la laisser se branler, cela me fera une magnifique excuse pour la traiter de salope si besoin est… Le temps de me retirer précipitamment de son fondement, j’expédie une série impressionnante de giclées de foutre au beau milieu de son dos. Maud, sans doute pour faire bonne mesure, en profite quelques ...
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