Décalage horaire
Datte: 15/01/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
profélève,
grossexe,
jardin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... sur moi.
— Merde ! Tu vas comprendre, à la fin, que je dois en baver pour ce que mes compagnes ont fait endurer à ton sexe ! Tu dois me baiser, me frapper, m’humilier ! Tu dois me considérer comme la pute que je suis !
Puis, après quelques millisecondes de silence où elle tente de reprendre son souffle :
— Si tu n’es pas capable de me traiter comme je dois l’être, j’irai voir les flics !
Décidément, c’est le monde à l’envers… Cependant, comme pour m’empêcher de réfléchir, la voilà qui se met à tenter de me griffer, telle une harpie déchaînée.
C’est bon, j’ai compris… Il arrive que, dans certaines situations et pour raisons inconnues, les nerfs craquent et l’ancien combattant que je suis sait que cela peut avoir des conséquences dramatiques. Et dans ces cas-là, faute de matériel, une seule thérapeutique : la baffothérapie. Celle-ci me semble d’autant plus indiquée que Maud vient d’essayer de me coller un coup de genou dans les valseuses…
Seulement, le premier aller-retour ne la calme pas, bien au contraire… D’ailleurs, elle revient vers moi comme une furie. Le second, bien que plus appuyé, n’y parvient pas davantage…« Mon Dieu, que je n’aime pas cela ! Moi qui ai été élevé dans le respect de la gent féminine, j’ai beaucoup de mal à la frapper, même si c’est pour la bonne cause… »
Je ne sais pas trop pourquoi, mais il me semble bien que j’avais entendu mon arrière-grand-père parler du traitement qui était réservé autrefois aux hystériques, dont le ...
... comportement qu’il décrivait semble précisément ressembler à celui que Maud a en ce moment.
Alors, si c’est vraiment ce dont elle a besoin, elle va l’avoir. Une clé de bras plus tard, la voilà sur le canapé, le cul en l’air et la tête dans les coussins. Normalement, le simple fait de lui foutre deux doigts dans la chatte devrait suffire à la calmer ; mais elle m’a tellement gonflé avec son discours à la noix – sans compter qu’elle a bien failli me crever un œil, cette bécasse – que je ne compte pas en rester là.
La Nature est quelquefois capricieuse, je m’en rends compte à mes dépens. Quelle est la probabilité de se retrouver avec un gourdin de compétition dans une situation pareille ? Une idée plus que saugrenue me traverse l’esprit.
— Tu disais quoi, tout à l’heure ?
Elle gronde quelques mots inintelligibles dans l’épaisseur du coussin. Je la redresse pour lui laisser la possibilité de s’exprimer.
— Je t’emmerde, couille molle !
Houlà ! J’essaie généralement d’être du genre calme et modéré, mais il ne faut tout de même pas dépasser la dose prescrite. Alors, sortant ma queue dardée comme jamais et la rage aidant, je lui enfile d’un trait dans sa chatte détrempée et commence à la pilonner. Elle accueille mon introduction avec le cri de celui qui vient de se faire péter un vilain bouton mal placé : ça fait mal sur le coup, mais après, qu’est-ce que cela soulage !
Et moi, pendant ce temps, je bourre et je bourre encore. Non, je ne la baise pas : je la fourre ...