1. L'île du bout du monde


    Datte: 13/01/2020, Catégories: fh, fbi, hotel, amour, volupté, noculotte, facial, Oral pénétratio, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... bouche maladroite me suçant, je suis au bord de la jouissance. Je me soulève un peu et lui attrape les cheveux.
    
    — Laure ! Laure, je vais…
    
    Mais elle secoue la tête et m’embouche à fond, ne bouge plus, guettant mes premiers spasmes, tout en pressant mes bourses. Elle se dégage, m’adresse un regard coquin et me reprend juste le gland, en me masturbant très doucement, faisant durer délicieusement le dernier instant.
    
    — Viens ! Jouis ! Viens ! s’écrie-t-elle.
    
    Dans un sursaut presque douloureux, en me cambrant, je me libère entre ses lèvres du peu qu’il me reste à ce moment… Je retombe, épuisé, le souffle court. Elle me garde en bouche, sans rien dire, jusqu’à la débande complète, puis relève la tête ses cheveux me caressant le haut des cuisses. Ses yeux sont rieurs et victorieux lorsque, ostensiblement, elle me regarde, creuse ses joues et déglutit alors que, d’un doigt, elle récupère quelques traces aux coins des lèvres. Elle ouvre sa bouche, me montre sa langue, tout sourire.
    
    — Très cochon, ça… Une première ! J’aime… Je ferai mieux la prochaine fois ! Mon pauvre chéri, je t’ai vidé… s’esclaffe-t-elle.
    
    Et elle se glisse contre moi, encore essoufflée, sa tête dans mon cou, en me prenant la main, une jambe me recouvrant.
    
    — Tu es merveilleuse… et coquine ! lui dis-je doucement.
    
    En se serrant davantage, elle murmure :
    
    — Je voulais savoir… Avec toi, je veux tout essayer, je me sens bien, faire des cochonneries, j’ai tellement de retard ! Et après tout ce que ...
    ... tu m’as expliqué tout à l’heure !
    
    o-o
    
    Certainement nous nous sommes endormis ainsi, corps mêlés et à moitié déshabillés.
    
    C’est un coup de langue impertinent sur mes lèvres qui me tire du sommeil. Elle est tout près, ses cheveux formant comme une tente autour de ma tête. Je retrouve son odeur, son odeur de femme après l’amour.
    
    — Bonjour ! Bonjour, Monsieur… Monsieur est épuisé, sans doute ? J’ai commandé un plateau, après ça ira mieux, pour recommencer, non ?
    
    Recommencer ?! Du coup la suggestion me réveille totalement ainsi que l’idée d’un bon café… Je veux protester et essaie de me redresser… mais elle me plaque au sol par un baiser profond et passionné.
    
    — Je t’aime, souffle-t-elle, je t’aime, je ne veux pas te quitter, je suis heureuse…
    
    Elle me mord les lèvres, m’enduit de salive puis se lève en m’aidant à me redresser.
    
    — Tu pousses ! lui dis-je en riant et en m’essuyant d’une main.
    
    Laure s’est rhabillée, maquillée et coiffée. Elle doit être debout depuis un moment. Je remarque une fois de plus que sa poitrine malmène son chemisier, les boutons prêts à exploser sous la pression.
    
    Ses yeux m’observent, amusés.
    
    — Tu es dans un drôle d’état, pouffe-t-elle, tu as été violé, on dirait…
    
    Je remets en bougonnant de l’ordre dans ma tenue.
    
    — Oui, violé, c’est ça, par une grosse gourmande…
    — Grosse ? s’étonne-t-elle, les mains sur les hanches.
    — Oui… Tu n’as pas pris un peu de poitrine ? Tu as les seins gonflés, lui dis-je, en tirant légèrement ...
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