L'île du bout du monde - Histoires de Sexe

L'île du bout du monde

... m’accompagne de ses deux mains, me libérant enfin à grands jets sur sa figure, dans ses cheveux, dans son cou…

— Oui, oui, super… gémit-elle, en me reprenant légèrement entre ses lèvres pour récupérer les dernières gouttes. C’est toi, ton amour !

Elle m’attire au sol, s’allonge, retrousse sa jupe, me presse la tête entre ses cuisses. C’est trempé, dégoulinant.

— À toi… Finis-moi, fais-moi jouir ! s’écrie-t-elle d’une voix rauque.

Ma bouche, ma langue, immédiatement engluées dans ses liqueurs, s’évanouissent dans ses replis chauds et humides, en bataille avec ce qui lui reste de string.

— Ahhhh ! gémit-elle, oui… oui !

Et, comme à son habitude, elle hurle son plaisir, en se cambrant à me soulever, m’arrachant presque les cheveux et me maintenant ainsi jusqu’à son dernier spasme.

o-o

Nous gisons sur la moquette, essoufflés. Laure enfin se penche sur moi en s’essuyant le visage d’un revers de main. Très chatte, elle m’embrasse du bout des lèvres, m’agace avec ses cheveux et me dit doucement :

— J’en ai partout ! Je comprends maintenant… Je comprends Clara, cette cochonne. Elle a raison, c’est génial ! J’ai pris un pied ! C’est comme ça, qu’elle fait, hein ? Dis-moi !
— Oui, soufflé-je, oui… C’est un peu ça, mais dis donc ! Il n’y a plus grand chose qui t’arrête… Tu fais des progrès rapides et considérables !

Elle feint la colère.

— Comment, « un peu ça » ? Clara faitencore mieux que moi ?
— Non, non, je plaisantais, je t’expliquerai… Tu ...

... deviens une terrible, je vais y laisser la santé !

D’un coup de reins, elle vient me chevaucher.

— Ta faute… Et puis j’ai voulu prendre un acompte, pour la suite, dans longtemps.

D’une main, je déboutonne le chemisier et elle m’apparaît en soutien-gorge sexy à souhait. Je lui caresse les seins à travers le tissu, excitant les pointes.

— Ça j’aime… murmuré-je.

Elle m’observe, amusée, ses mains appuyées sur mes épaules.

— Ils sont à toi, rien qu’à toi, roucoule-t-elle en se dégrafant, puis, en se penchant vers moi, en m’offrant ses seins : Tète… Tète-les !

En soupirant, j’enfouis mon nez entre ces trésors bien ronds, puis, de la langue et des lèvres, je les caresse, les mordille, les lèche, pendant que ses mains me caressent les cheveux.

— Mon bébé… murmure-t-elle. Tu sens comme ils se dressent ? Bois, tète… Ah ! Que c’est bon !

Une nouvelle ardeur me reprend et elle la sent, contre ses fesses qui m’écrasent.

— Eh ! Mais c’est que… Monsieur se réveille ! C’est pas vrai ! s’exclame-t-elle.
— Pitié ! Laure, pitié ! murmuré-je.

Les yeux brillants elle me dévisage, passe la langue sur ses lèvres.

— Pas question ! s’écrie-t-elle, je n’en laisserai pas pour que tu ailles voir une autre fille !

Et, en rampant, elle s’installe entre mes jambes et me prend en bouche, un peu ramolli…

— Allez ! Bande ! Bande ! souffle-t-elle en s’activant des lèvres et de la langue, je veux te goûter, te boire ! Donne ton jus, donne…

Bientôt, la vigueur revenue, sa ...