Missouri moi aussi
Datte: 06/01/2020,
Catégories:
amour,
photofilm,
nonéro,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... l’artisan et s’allonge quasiment sur lui. Elle frotte régulière son pubis contre le sexe de l’homme qui se redresse vaillamment dans le slip.
— Ok, finit par lâcher l’homme.
La cliente se redresse, s’assied sur les cuisses de l’homme qui s’extirpe du sous-meuble.
— C’est fini ? Réparé ?
— Pour cette fuite, plus de problème. Mais pour l’autre, ce sera plus dur.
— L’autre ? Quelle autre fuite ? demande la cliente interloquée.
— Mais celle-ci, répond le vaillant travailleur en plaquant sa main entre les cuisses de la cliente.
Zoom sur le slip en satin qui présente une large tache sombre en son milieu, puis gros plan toujours sur la main qui s’active.
— Oh, pousse la jeune femme toujours interloquée, mais qui se laisse faire.
Très professionnel, le plombier annonce la marche à suivre :
— Sacrée fuite ! Je pense même qu’il faudra intervenir au chalumeau ! Heureusement, je l’ai toujours sur moi !
Zoom sur son slip en forme de tente canadienne.
Dès lors, les dialogues vont se raréfier, laissant place à l’action ! La verge est extraite du slip, la culotte de satin déchirée, le tee-shirt finit sur le carrelage trempé. Lorsque la petite chatte vient s’empaler sur le chalumeau chauffé au rouge, filmer devient problématique pour moi. Sarah, qui a abandonné sa caméra, et s’est dévêtue, a en effet plongé entre mes cuisses, extirpé mon sexe du slip que j’ai bêtement enfilé avant le tournage et me suce vaillamment. Heureusement que le steady-cam amortit les ...
... soubresauts et tremblements, sinon l’image tremblerait comme dans un film de Buster Keaton ! Et du coup, l’histoire de la co-locataire qui devait se pointer juste au bon moment pour en remettre une couche passe à la trappe. Mais personne ne s’en plaint : le cinéma, les séquences doublées, les changements de positions, les interruptions pour tourner les plans de coupe, ça finit par agacer. Rien ne vaut le Live !
Il me faudra cependant beaucoup de constance pour tenir jusqu’au bout de la séquence, et je filmerai avec soulagement l’explosion conjointe de mes acteurs, explosion libératrice pour moi qui pourrait dès lors apprécier sans retenue la fellation d’enfer prodiguée par la jolie Sarah et la faire profiter de mes talents …
La nuit s’étant poursuivie par le montage du film, c’est tôt, très tôt que John-John et moi avons rejoint nos petites femmes pour nous reposer un peu. Et quant au reste de la journée du lendemain, Lilly et moi l’avons passée au Motel, à lézarder, et à nous reposer. Fait exceptionnel, il ne nous est même pas venu à l’idée de nous envoyer en l’air ce jour-là. Je crois que nous étions gavés !
* * *
Plus on approche de chez Lilly, plus les routes sont mauvaises. Depuis qu’on a franchi le Mississipi, le paysage est devenu monotone, pauvre. La terre rouge est lourde ; la végétation n’a plus rien en commun avec celle que j’ai connue dans le Nord. J’ai l’impression d’avoir changé de planète, ou pour le moins, de tropique. Ce qui est le cas d’ailleurs. Il ...