1. Impulsions comateuses (7)


    Datte: 06/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: OnoX, Source: Xstory

    ... faire sauter. Le membre turgescent habitait son esprit et la faisait tourner chèvre.
    
    Elle le chevaucha avec violence ne lui laissant aucun répit. Elle le sentit éjaculer une première fois. Elle intensifia alors ses mouvements.
    
    — Maman, je vais encore jouir... tu restes trop sur mon gland... je n’en peux... plus.
    
    Il décida que sa mère avait assez joué.
    
    (Je vais la faire redescendre un peu sur ma verge pour arrêter cette torture.)
    
    Il agrippa les fesses de sa mère, accroupie au-dessus de lui. Et tira fort pour qu’elle vienne se mettre en butée.
    
    — OH... OH... OH OUI ! cria-t-elle de toutes ses forces.
    
    Elle se mit à trembler, ce qui eut pour effet de le faire éjaculer à plusieurs reprises.
    
    (Au moins là, elle va être rassasiée pour un moment.)
    
    Il se trompa dans les grandes largeurs.
    
    — Oh, putain c’était bon ! s’exclama-t-elle surprenant son fils peu habitué à l’entendre jurer.
    
    Elle bougea les hanches et sentit la verge toujours dure en elle. Théo vit les pupilles de sa mère se dilater à l’extrême et sa langue n’arrêtait pas de se lécher les lèvres.
    
    (Je le sens mal.)
    
    Elle partit en grande chevauchée allant cette fois-ci jusqu’à la garde à chaque fois. Isabelle eut un petit orgasme qui l’éveilla à ce qu’elle faisait, repoussant son envie primitive. Elle fut choquée de son comportement et prit conscience avec stupeur, du membre de son fils qui s’enfonçait encore et encore en elle et du liquide s’écoulait de sa fente.
    
    — Oh mon Dieu ! Oh oh ...
    ... oh... mon chéri, je vais...
    
    Elle fut foudroyée pour un terrible orgasme. Elle sentit le sperme gicler de nouveau, la verge se contracta de façon aléatoire un long moment après que Isabelle eut arrêté de bouger.
    
    Elle ouvrit la portière et sortit prestement. Elle se mit, accroupie, laissant les filets de liquide blanchâtre s’écouler au sol. Théo s’était endormi aussitôt sa dernière éjaculation.
    
    Elle prit un paquet de mouchoirs, nettoya son fils puis elle-même ainsi que les petites tâches sur le siège et le tapis de sol.
    
    — Mon chéri, réveille-toi !
    
    — Qu... quoi, dit Théo, émergeant d’un sommeil profond.
    
    — On arrive d’ici dix minutes, il ne faut pas que tu sois trop chiffonné pour les gens qui viennent te voir.
    
    — Je crois que c’est trop tard après la façon dont tu m’as traité.
    
    Isabelle bégaya difficilement :
    
    — Mais... je... je ne... je ne te permets pas de me juger.
    
    Théo s’étira faisant craquer ses épaules et ses coudes.
    
    — Tu m’as vidé... vraiment vidé et c’est un compliment. Hier, elles ont dû s’y mettre à deux pour y réussir.
    
    Il réfléchit et continua :
    
    — D’ailleurs elles ne devaient pas vraiment m’avoir vidé, car j’ai eu une impression de flot continu, pas toi ?
    
    — Je suis morte de honte...
    
    — C’était magique, la coupa-t-il. J’ai eu la même sensation avec le Docteur Renaud quand elle s’est déchaînée. Mais en plus fort parce que j’ai eu l’impression que tu y mettais ton âme.
    
    — Tais-toi ! Je t’en prie ! J’ai trop honte...
    
    — N’aie pas ...
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