Impulsions comateuses (7) - Histoires de Sexe

Impulsions comateuses (7)

... attentivement et dit :

— Il y a un problème... tu ne veux pas qu’on rentre tout de suite à la maison.

— Mais... mais non...

— Vous me préparez quelque chose à la maison.

Il lui titilla les côtes avec son doigt. Elle commença à rire sans pouvoir se retenir.

— Hein ? Hein ? demanda-t-il en amplifiant ses chatouilles.

— Arrête ! Arrête ! Je conduis.

— OK ! Je m’en doutai un peu, mais...

Il ne finit pas sa phrase.

— Mais quoi ?

Il la regarda et perdit quelques couleurs.

— Il va y avoir du monde... peut-être même trop de monde.

Il sentit monter la peur, sa mère le vit et lui dit :

— Calme-toi mon chéri, tout va bien aller, le rassura-t-elle. Il n’y a pas plus de dix personnes et que des gens que tu connais.

Il secoua la tête et dit, le souffle court :

— Il faut que j’arrive à me détendre avant sinon ça va vite devenir très compliqué.

Elle devina monter la crise d’angoisse chez son fils et se dit qu’il y avait un moyen rapide de la tuer dans l’œuf.

— Attends un peu.

Elle sortit de la nationale sur une aire de repos déserte. Elle observa aux alentours et enfonça la voiture dans un chemin de halage à l’abandon.

— Qu’est-ce que tu fais ? demanda-t-il inquiet.

— Baisse ton pantalon et essaie de ne pas le froisser.

Il défit sa ceinture sans poser question.

— C’est juste une fois parce que tu es stressé ! N’y reviens pas !

Il hocha la tête, Isabelle recula son siège et se positionna pour avoir la tête au-dessus de ...

... l’entrejambe de Théo. Elle sortit la verge du boxer. Elle la caressa un peu et la prit rapidement en bouche.

(Oh la la la !)

— Oh maman ! Je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps si tu fais ça comme ça.

La verge entra en érection en un instant. Isabelle espéra que ça dure un peu pour permettre à sa fille de finir la décoration qui lui tenait tant à cœur. Raide comme jamais, les veines ressortant, le membre était prêt à exploser. Elle calma le jeu et arrêta la fellation. Elle le masturba doucement.

— Tu es sensible, c’est parce que tu es nerveux, le rassura-t-elle.

Le membre suinta abondamment, Isabelle sentit son corps répondre à l’excitation de son fils avec ampleur. Son string se trempa, ses tétons pointèrent et sa respiration s’accéléra.

Théo surprit sa mère et l’embrassa sur la bouche, puis il glissa sa main entre ses jambes. Il écarta le string et enfonça tout doucement son majeur dans la fente. De la cyprine coula en abondance sur sa main. Isabelle le repoussa et dit :

— Merde Théo, t’en as mis sur le siège.

— J’en ai mis ! répondit-il prenant la mouche. Tu te transformes en fontaine et soudain, c’est de ma faute !

Sa mère le regarda dans les yeux avec colère et lui sauta dessus, le repoussant dans le fond de son siège. Elle tint son string sur le côté et se planta sur la trique dure comme une barre de fer.

Elle lui en voulait terriblement, mais elle n’arrivait pas à arrêter d’y penser depuis le premier jour où il lui avait proposé de se ...