Impulsions comateuses (7) - Histoires de Sexe

Impulsions comateuses (7)

... dit qu’elle pourrait se sacrifier un peu. Puis elle fut prise d’un haut-le-cœur.

— Tu sais, commença Isabelle. Je serais toujours là pour toi mon cœur, mais il va falloir que tu te fasses avec ce genre de choses maintenant.

Il se leva et serra sa mère dans ses bras, elle le lui rendit, mais sentit une chaleur monter en elle au contact de la matraque de son fils qui pulsait contre son ventre.

— Je m’habille et on file d’ici avant que je change d’avis, dit-il en sortant de la pièce.

Il prit les vêtements que sa mère lui avait préparés. Isabelle ferma la porte pour uriner. Karine entra quelques secondes plus tard.

— Docteur comment allez-vous ? demanda Théo alors qu’il s’asseyait sur son lit.

Elle s’approcha de lui essayant de ne pas faire attention à sa nudité.

— Tu dois mettre un panneau lorsque tu prends ta douche.

— Excusez-moi docteur, mais je n’ai pas toute ma tête ce matin.

— Encore nerveux ?

— Moins grâce au travail coordonné de Noémie et Carline, répondit-il en mettant son t-shirt.

Karine leva les yeux au ciel.

— Vraiment ?

— Oh oui, j’ai bien cru qu’elles allaient m’assécher.

Elle attrapa la verge de son patient et commença à la masturber.

— Oups ! fit Théo, sortant la tête à l’air.

— Pourtant tu me sembles encore plein d’énergie.

— Oui, c’est sûr, avec toute cette pression, ça ne veut pas retomber.

Elle voulut embrasser le gland, mais quelqu’un toussa derrière elle et crut mourir. Elle tourna la tête et respira ...

... un grand coup.

— Oh putain Isa, c’est toi ! Tu m’as donné la peur de vie.

— Je voulais l’aider à s’habiller, mais je vois que tu as les choses bien en main, dit-elle accentuant son regard vers l’entrejambe de son fils.

Le docteur s’écarta avec la mine déconfite d’une enfant prise avec la main dans la boîte à gâteau. Isabelle se mit en face d’elle de l’autre côté du lit.

— Désolé, je ne savais pas que tu étais là.

— Mouais ! Ce n’est pas vraiment une excuse, mais bon.

— En parlant de ça, je m’excuse moi aussi mes dames, mais je n’aurais vraiment pas d’énergie pour vous deux en même temps, l’équipe de nuit m’a démontré qu’il fallait une forme olympique pour ça.

Elles le regardèrent la bouche ouverte, écœurées par ce qu’elles comprirent.

— Habille-toi ! Et tais-toi, s’il te plaît, dit sa mère en rougissant.

Karine, dont l’esprit l’emmena sur un terrain glissant, avait les yeux fixés sur la verge en dessous de son nez.

— Lève les yeux Karine ou ils vont tomber.

Elle releva la tête et regarda sa meilleure amie avec un sourire en coin. Elles gardèrent le silence le temps qu’il finisse de s’habiller.

— Vous êtes prêts tous les deux ? demanda Karine dissipant l’ambiance un peu lourde. Vous arrivez au bout d’un long chemin.

Isabelle hocha la tête avec un grand sourire, mais Théo lui, ferma les yeux et se massa les tempes. Elles le regardèrent, inquiètes.

— Théo, tu vas bien ?

— Juste un mal de crâne.

Le docteur prit son stéthoscope et le ...