Échanges de politesses
Datte: 04/01/2020,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... on parle ? Que c’était une sorte de récréation pour vos employées, une forme de défoulement avec… pardonnez-moi, chère Chantal, avec une… professionnelle.
Elle n’a pas dit « pute », mais qu’elle y ait pensé me fait rougir cette fois. Je souris, malgré tout, en déniant de la tête, tandis que tu lui réponds.
— Ah, le développement personnel, on en a beaucoup parlé, c’est vrai ! Un bon fromage pour certaines boîtes, je crois ! Mais aujourd’hui c’est fini. Non, nous faisons une véritable formation, croyez-moi.
— Tout de même, insiste-t-elle, ces femmes qui, comme vous le dites, trouvent leur plaisir ainsi…
— Voyons, Marie-Blanche, vous n’avez jamais eu ce genre de tentation ? Vraiment jamais, même en fantasmes ?
Tu as pris ta voix douce et affiché ton sourire de velours. Elle baisse les yeux, un peu troublée.
— Peut-être… enfin, une fois ou deux, sans oser le poursuivre… Une tentation, comme vous dites.
— Même pas un rêve érotique, un tout petit, un souvenir que l’on oublie vite au réveil ?
Seule une longue pratique de maîtrise de ses émotions lui évite de rougir. Elle baisse la voix.
— Je n’étais pas seule, alors, et maintenant, je n’ai plus l’âge.
— Oh, ma chérie, vous n’êtes pas si vieille ! Chantal vous trouve très désirable, je vous assure.
Je ne sais pas où tu veux en venir, mais je te suis. Je lui confirme tes paroles pendant que tu poursuis :
— Et puis, vous l’avez remarqué vous-même, Marie-Blanche, vous n’étiez pas seule, votre mari, sans ...
... doute ? Mais, aujourd’hui, ici où il n’y a personne d’autre, vous n’avez pas une petite pensée « impure », comme on disait au pensionnat ?
— …
— Allons, nous pouvons nous dire franchement les choses, entre amies, n’est-ce pas ? Voulez-vous que je vous fasse une confidence ? J’aurais envie de vous voir nue, vous avez une telle silhouette !
— Oh, Aline, vous plaisantez ! C’est très flatteur, mais…
— Je vous ai livré sincèrement ma pensée, vous pouvez me dire la vôtre, non ?
— Vous insistez coquine ! Eh bien, puisque vous y tenez tant, croyez-moi je n’avouerais cela à personne d’autre, mais puisque nous sommes amies je vous fais confiance, oui, je vous l’avoue, moi aussi l’idée m’a effleurée que j’aimerais vous voir nue, Aline, et voir Chantal aussi.
— Mais vous m’avez vue, dis-je surprise, dans toutes les positions et la première fois pas à mon avantage !
— Je vous ai admirée pour cela, ma chérie, quand vous étiez comme une esclave au marché. Ensuite, j’ai souvent détourné les yeux. L’éducation… Ce que je veux dire, c’est vous voir nue de près.
— Je serai heureuse de vous faire plaisir dans ce cas, si Aline pense que nous avons encore le temps, bien sûr.
Je me lève, pose mon verre, vide, sur le plateau et te regarde, la main sur la ceinture du peignoir. Tu jettes un œil sur ta montre en te levant à ton tour.
— Nous n’aurions pas le temps de vous faire un strip-tease de rêve, très chère Marie-Blanche, mais nous montrer à vous sans fard pour quelques minutes, pourquoi ...