1. Alentours de Lyon - 1637


    Datte: 01/01/2020, Catégories: fh, fhhh, hagé, religion, fsoumise, hdomine, contrainte, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe sf, fantastiqu, Auteur: Elros, Source: Revebebe

    ... réchauffant ses pieds endoloris. Elle tente de calmer les ardeurs de son corps, se disant qu’il vaut mieux ne pas se mettre le moine à dos.
    
    Il entre dans la pièce sans un bruit et l’observe quelques instants, sans que l’on puisse dire s’il s’agit pour lui d’admirer la plastique de cette femme ou de décider de ce qu’il faut en faire.
    
    — Bien, mon enfant, qu’allons-nous faire de vous ? Je pense que le mieux est d’aller voir notre père supérieur.
    — Vous pensez qu’il peut m’aider ?
    — Oh, oui ! Il en a déjà aidé beaucoup, vous savez. Hum… Bien, allons-y. Passez devant, je ne tiens pas à ce qu’une éventuelle créature du Malin soit derrière moi. Je vous guiderai.
    
    Ils s’en vont dans les couloirs. Le moine connaît le chemin par cœur et c’est aussi bien, car il ne parvient pas à détacher son regard de la croupe de Marie. Assez curieusement, sa bure fait une bosse au bas de son ventre. Quant à Marie, elle essaie de penser à autre chose qu’au regard de cet homme posé sur elle. Cela ne l’empêche pas de sentir une certaine humidité couler entre ses cuisses. Après plusieurs tours et détours, ils arrivent devant une double porte.
    
    — Ouvrez et entrez, mon enfant. Le père supérieur est là.
    
    Marie obéit et pousse l’un des battants. Elle débouche dans une longue salle au centre de laquelle trône une grande table. Autour de cette table, assis, onze moines sont en train de manger. L’un d’eux trône à un bout, levant un verre de vin. … On a toujours besoin d’un remontant après les ...
    ... prières du soir…. Ils s’arrêtent et les regardent entrer, Marie se cachant le sexe et les seins tant bien que mal avec ses mains.
    
    — Et bien, Nicolas, mon bon jardinier, que nous as-tu cueilli là ? demande le moine trônant en bout de table.
    — Ben, elle a frappé à la porte et demandé de l’aide, père supérieur. Comme pendant le sermon vous nous avez rappelé qu’il fallait aider son prochain, je me suis dit…
    — Tu as bien fait. Approchez-vous, ma fille. N’ayez crainte. Racontez-moi votre histoire et dites-nous donc de quelle aide vous avez besoin ?
    — Eh bien, mon père, voilà : les villageois m’ont agressée et dépouillée de tout ce que je possédais, m’arrachant même mes vêtements. J’ai réussi à m’enfuir jusqu’à votre porte. Je sollicite votre aide, une tenue pour me couvrir, le gîte et le couvert. Tout du moins, pour l’instant.
    — Père, il faut que je vous dise, les villageois la traitaient de sorcière, ose lancer Nicolas, le jardinier.
    — Hum, une sorcière, dites-vous ? Pourquoi les villageois vous traitent-ils de sorcière ?
    — Je ne sais point, mon père. Je suis arrivée dans le village, et alors que je m’avançais vers une maison ils me sont tombés dessus.
    — Bizarre. Une histoire très étrange. Il est vrai que le Malin ne s’y prendrait pas autrement pour nous tenter, en nous envoyant une femelle aussi jolie.
    — Qu’est-ce qu’il dit ? fait le doyen à l’autre bout de la table.
    — Il se demande si cette jeune fille ne nous a pas été envoyée par le Malin, lui dit son jeune voisin.
    — ...
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