Alentours de Lyon - 1637
Datte: 01/01/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
hagé,
religion,
fsoumise,
hdomine,
contrainte,
facial,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
sf,
fantastiqu,
Auteur: Elros, Source: Revebebe
... Pourquoi serais-je envoyée par Satan ? Ai-je l’air satanique ? répond Marie
— Ne prononcez pas son nom, malheureuse ! En plus, il a de ces ruses ! Vous avez l’air angélique, ce qui en soit est suffisant pour que vous soyez une de ses créatures. Mais que l’on ne si trompe pas, je connais plus d’un moyen pour le démasquer.
— Qu’est-ce qu’il dit ? fait le doyen
— Ecoutez, quel mal puis-je vous faire ? Je suis là devant vous, nue comme au premier jour.
— Justement, c’est cela qui est étrange. Qui nous dit que vous n’êtes pas ici pour nous détourner de nos engagements ? En plus vous vous cachez avec vos mains. Il nous est donc difficile de voir si vous êtes réellement ce que vous prétendez !
— Qu’est-ce qu’il dit ?
— Ôtez-moi ces mains de devant votre corps que nous puissions vous examiner !
— Non ! Je vous en prie, se lamente Marie
— Ah ! Vous résistez, hein ! C’est bien là une de ses façons de faire, nous attirer dans ses filets puis se soustraire. Enlevez ces mains ou je demanderai aux frères de le faire.
— Bon, très bien, puisque vous insistez.
— Qu’est-ce qu’elle dit ?
Marie décroise ses mains et apparaît devant les moines, nue et découverte. Plusieurs sifflements se font entendre.
— Poussez-vous, quoi ! Je vois rien, et en tant que doyen j’ai des droits, fait une petite voix qui se fraie un chemin jusqu’au premier rang des moines qui se sont assemblés en rond.
— Bon, jusque-là je dirais que vous semblez normale. Mais écartez-moi ces cuisses. Parfois le ...
... Malin se cache dans les moindres recoins.
— Là vous allez un peu loin, mon père. Je … oh… et puis zut, tiens !
Marie prend appui sur une table juste derrière elle, se penche en arrière et écarte les cuisses, permettant à tous les regards de se poser sur son entrejambe. Par la suite, plusieurs se rappelèrent que, alors que tout le monde se concentrait pour s’assurer que le Malin n’était pas à l’œuvre, le petit rire du doyen se faisait entendre, venant de dessous la table contre laquelle Marie avait posé ses fesses.
Le père supérieur se lève et s’approche d’elle.
— Il me faut vérifier que vous êtes bien réelle, mon enfant. Je vais donc vérifier que votre corps est bien constitué de chair et de sang. Ne croyez pas qu’il s’agisse là de vices de ma part.
— Ah non, mon père ! Là vous exagérez un peu quand même !
— Comment ? Vous ne vous laisseriez pas inspecter par un homme d’église ? Voulez-vous que je demande à mes frères de vous saisir ?
— Euh… non. Mais qu’allez-vous me faire ?
— Vérifier chaque partie de votre corps. Ne bougez pas, s’il vous plaît.
Il s’avance jusqu’à quelques centimètres d’elle et pose les mains sur son visage. Il vérifie ses cheveux, ses yeux, son nez, puis sa bouche. Son index glisse sur les lèvres humides de la jeune femme.
« Mon Dieu, calmez le feu qui couve en moi. Si ce prêtre continue, je vais lui arracher sa bure et me jeter sur lui. » prie intérieurement Marie.
Puis les mains de l’ecclésiastique descendent le long de son cou, ...