1. Alentours de Lyon - 1637


    Datte: 01/01/2020, Catégories: fh, fhhh, hagé, religion, fsoumise, hdomine, contrainte, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe sf, fantastiqu, Auteur: Elros, Source: Revebebe

    Il est vingt-deux heures dans le petit village de La Garde. Clémence Grosduc était sortie de chez elle pour se rendre au puits afin de ramener un seau d’eau à la maison lorsqu’elle voit une grande lumière blanche au nord de la place centrale du village. Elle pousse un grand cri, lâche son seau et court chercher son homme. Qui lui s’en revient avec ses deux voisins, armé de piques et de fourches.
    
    Ils voient alors, allongé sur le sol, un corps, nu. En s’approchant prudemment, mais en restant à trois bons mètres, Louis Grosduc dit à son voisin Auguste Labête :
    
    — Va voir si c’est vivant, c’t’engeance.
    — Pourquoi moi ?
    — Parce que c’est moi qu’ai eu l’idée.
    — Hein ? Ah bon ?! Ben d’accord.
    
    Le dénommé Auguste s’approche du corps et le touche du bout de son bâton.. Aucune réaction. Il avance la main et touche l’épaule nue, sans plus provoquer de réaction, et il prend alors la courageuse décision de retourner le corps.
    
    — Oooh ! s’écrie-t-il
    — Quoi ?
    — Je crois que c’est une femme.
    — Comment ça "je crois" ?
    — Ben..
    — Tu sais bien comment elles sont faites, vu qu’t’es marié.
    — Jamais vu Germaine dans c’te tenue moi !
    — Mais t’as ben des marmots. Comment qu’tu les as faits ?
    — Ben dans l’noir, et habillés, comme y nous a dit m’sieur l’curé.
    — Oh, quel couillon ! Allez pousse-toi et fais-moi voir.
    
    Louis s’approche et confirme qu’il s’agit bien d’une femme, d’une belle gueuse, comme il dit. Il y a juste un point qui le gêne, c’est qu’elle n’a pas beaucoup de ...
    ... poil entre les jambes. C’est alors que la forme allongée à terre remue et met ainsi fin à ses questions. Les trois hommes s’égaillent comme une volée de moineaux, se réfugiant derrière des tonneaux posés sous un auvent de toit, proche de la place, d’où ils observent la scène.
    
    Marie, car c’est bien elle, semble s’éveiller. La tête lourde, les tempes bourdonnantes, elle essaie de comprendre ce qui s’est passé. Elle grelotte de froid mais une sourde chaleur lui irradie l’entrejambe. Elle n’ose pas ouvrir les yeux, et finalement elle se redresse prudemment et observe la place autour d’elle.
    
    — Mon Dieu, se dit-elle, où suis-je donc ?
    
    Elle se passe la main entre les cuisses, ce qui lui confirme son état d’excitation sexuelle. Dans un effort de volonté, elle retire la main, se relève et jette un rapide regard alentour. Aucune maison n’est éclairée et aucune lumière n’illumine la place. Elle s’approche d’une demeure et en observe la structure et l’architecture.
    
    «La machine fonctionne donc ! Mais en quelle année suis-je tombée ? Et qu’est-ce qui m’arrive, j’ai la sensation d’avoir la chatte en feu.»
    
    Elle se déplace vers une autre maison, disposant d’un auvent. C’est à ce moment-là qu’elle entend quelqu’un crier tout près.
    
    — Sorcière ! Sorcière ! Arrêtez-la !
    
    Des portes de maisons s’entrouvrent alors, et un coup sourd lui parvient droit devant elle, ainsi qu’une voix qui marmonne :
    
    — Peux pas te taire, l’Auguste ? Elle venait droit sur nous. On n’avait plus qu’à ...
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