1. 0204 Un nouveau, incroyable Jérémie.


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... sucer, moi, le petit pd qui jusqu’à là n’avait que le droit de lui offrir ma bouche et mon cul pour son plaisir de mâle alpha.
    
    Une nouvelle fois, j’ai besoin de tâter ses épaules et ses biceps pour me convaincre que je ne suis pas en train de rêver : c’est bien ça, Jérém est en train de me sucer, moi debout contre le mur à côté de la porte d’entrée, lui à genoux devant moi, comme je l’ai tant de fois été devant lui.
    
    La chaleur de la cheminée réchauffe mon torse, mes bras, mon visage, sa bouche réchauffe ma queue, mon ventre. Je respire profondément, je sens l’air circuler dans me bronches, je sens le plaisir m’envahir, se diffuser dans chaque cellule de mon corps, envahir mon cerveau et mon esprit.
    
    J’ai eu beau me dire par le passé que mon plaisir « de mec » était secondaire face au plaisir d’offrir du plaisir à mon bel étalon : il n’empêche que je prends un plaisir fou à me faire sucer par le même étalon.
    
    Ce changement de position, de rôle, de plaisir, de point de vue, me bouleverse. Ce n’est pas la première fois que je me fais sucer : Stéphane m’a offert ce bonheur en premier, et Martin m’a fait une piqure de rappel le soir ou l’on a couché ensemble : mais là, là ça n’a rien à voir ; car – putain ! – là, c’est mon Jérém qui est en train de me sucer, mon Jérém, mon Jérém, mon Jérém !!! Et le bonheur est autant dans le plaisir purement sexuel que dans le fait que ce soit le gars que j’aime à le faire, tout en semblant prendre du plaisir à ce geste que je ...
    ... pensais impossible.
    
    Certes, pendant la semaine magique, j’avais eu l’impression que déjà il avait voulu s’y lancer, avant de faire marche arrière, surpris et indisposé par mon regard : j’en étais même venu à penser que ce petit « incident » avait été le début de la fin de cette semaine magique ; mais là, j’ai vraiment l’impression que nos seulement il a vraiment envie de me faire plaisir, mais qu’il se laisse aller à ses envies, qu’il les assume, qu’il assume qui il est, enfin.
    
    Ses va-et-vient, d’abord lentes, et d’une ampleur limitée, se font de plus en plus rapides, de plus en plus affirmés ; ma queue disparaît désormais complètement dans sa bouche et mon plaisir monte à grand pas ; un plaisir qui franchit un palier dangereux lorsque ses doigts viennent chercher mes tétons et les titillent de façon appuyée.
    
    Submergé par le bonheur sexuel, j’ai envie de lui faire plaisir à mon tour, d’encourager son geste, de lui montrer à quel point ça me fait du bien. Mes doigts s’enfoncent dans ses cheveux bruns et humides, ils caressent son visage, son cou, arpentent ses épaules, ses pecs, jouent avec ses tétons ; je courbe le dos pour poser des bisous, en plus des caresses, sur ses beaux cheveux bruns.
    
    Jérém me suce avec entrain, et c’est sacrement bon ; tellement bon que, pendant un court instant, je me surprends à me demander si ce talent est complètement inné ou bien s’il est le fruit d’une certaine pratique. Au fond, je sais qu’il a couché avec Thibault et il aurait bien pu ...
«12...91011...23»