Merci mon petit cocu. Tu ne bouges pas de la chamb
Datte: 30/12/2019,
Catégories:
Première fois
BDSM / Fétichisme
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... langue vient chercher la mienne et elle me caresse doucement les cheveux.
— Je t’aime, François, murmure-t-elle, merci pour cet après-midi.
— Je t’aime.
Je cherche encore une fois sa bouche et entreprends de la faire basculer sur le canapé. J’ai furieusement envie d’elle, je couvre littéralement son cou, sa tête, ses mains de baisers.
Je commence à la déshabiller, je fais glisser sa petite culotte à terre et lui retrousse sa jupe. Elle est couchée sur le canapé, le bas du corps dénudé, les cuisses légèrement écartées. Je commence à déboucler mon pantalon et je sens sa main se poser sur la mienne.
— Pas comme ça, chéri… je me sens écartelée, je ne suis pas sûre que je te sentirai, j’ai plutôt besoin de tendresse et de douceur.
Elle écarte un peu plus les cuisses et me pousse doucement vers le bas du canapé. Je suis à genou devant elle et j’ai une magnifique vue sur sa chatte : gonflée, rouge et légèrement humide. Je n’en peux plus de désir, je fourre ma tête entre ses cuisses et commence à la lécher. C’est une sensation étrange, ma femme m’a trompé il y a moins d’une heure avec un mec mieux équipé que moi et je lui dévore la chatte. Elle me caresse la nuque et commence à imprimer des mouvements de va-et-vient de son minou sur ma bouche. Elle jouit très rapidement, m’embrasse goulûment et commence à me masser la bite à travers mes vêtements. J’halète, je suis dur comme du bois, je ne vais pas tenir longtemps. Elle accélère le mouvement et me susurre :
— ...
... J’ai envie de le refaire ce soir… avec lui.
J’explose dans mon pantalon ; une jouissance fulgurante, brutale qui me laisse pantelant. Je dois m’asseoir pour récupérer mes esprits. Elle me tend un kleenex, c’est un peu humiliant de me déboutonner devant elle et d’essuyer mon sperme répandu un peu partout sur mon bas-ventre. Elle me regarde faire en souriant pendant qu’elle rajuste sa culotte et sa robe.
— Pas trop déçu de ne pas m’avoir encore reconquise ?
— Je ne sais pas, un peu sans doute, j’avais terriblement envie de toi.
— J’ai bien vu, mon chéri, mais il faudra attendre demain… tu n’es plus à quelques heures près non ?
Denis revient peu après et c’est reparti comme la dernière fois : apéro, re-apéro re-re apéro. Il s’absente un moment, finir la cuisine, Sylvie vient vers moi, s’installe à califourchon sur mes genoux, me roule une pelle et me chuchote :
— Ce serait pas mal si tu pouvais feindre la fatigue ou la maladie et nous laisser seuls pour la fin de soirée, j’ai très envie de recommencer.
Bouche bée, j’acquiesce et demande : c’était si bien que ça ?
Elle hoche la tête.
— Mieux qu’avec moi ? insisté-je.
Nouveau hochement de tête. Elle précise :
— C’était surtout différent, mais j’ai bien envie de le refaire ce soir, si tu es toujours d’accord pour être cocu une fois de plus.
— Différent comment ?
— Arrête François, tu te fais du mal. Disons simplement qu’avec toi, nous faisons l’amour et qu’avec lui, c’est plus un jeu ou une ...