Merci mon petit cocu. Tu ne bouges pas de la chamb
Datte: 30/12/2019,
Catégories:
Première fois
BDSM / Fétichisme
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... qu’il arrive tout à l’heure, je t’aime chéri, sois-en certain.
Atterrissage. Récupération des bagages ; je suis un automate. Je ne pense qu’à ça : vais-je descendre ou pas de cette foutue bagnole.
Denis est à la sortie des voyageurs, il embrasse ma femme et me salue cordialement.
— Bon voyage les tourtereaux ? lance-t-il.
Ma femme sourit ; je croasse péniblement :
— Ça va, ça va… Dis au fait, ma tante Irma (putain, mais où ai-je été pêcher ce nom ?) est malade. Tu pourrais me déposer à une station de métro ?
— Pas de problème. Porte d’Orléans, ça t’irait ?
— Impec… Je te confie Sylvie pour l’après-midi et je vous rejoins vers 17-18 h. Ça te va ?
Arrivés à destination, je descends de la voiture, ma femme fait de même et elle me roule une énorme pelle baveuse :
— Amuse-toi bien, mon chéri, à ce soir, je t’aime, me glisse-t-elle.
— Toi aussi. J’articule péniblement, je tremble déjà d’excitation et de fébrilité.
Elle s’engouffre dans le gros quatre roues motrices à côté de Denis qui démarre sans un mot. Je vois le véhicule tourner à droite au premier feu. Je me rue en courant jusqu’au croisement et je les observe arrêtés au feu suivant : ma femme a déjà la tête sur son épaule… gggrrrrr.
Que vais-je faire de mon après-midi ? Je consulte un programme ciné : la ligne rouge de Terence Malik au Max Linder devrait faire l’affaire.
Le film me paraît atrocement long et je ne rentre absolument pas dedans (j’ai même ri à la scène du débarquement…). ...
... Je pense obsessionnellement à Sylvie, à son cul, à ses reins, à sa bouche à sa chatte et à ce qu’elle peut bien fabriquer avec. Je consulte ma montre à peu près toutes les trente secondes… Dieu que ce film est lent.
Fin de la séance, je me rue chez Denis, je sonne. Il est déjà en bas dans le hall. Je scrute son visage : il a l’air détendu et de bonne humeur.
— J’allais sortir, me dit-il, un rendez-vous boulot, j’en ai pour une petite heure et je vous rejoins pour l’apéro, ta femme est là-haut. Et il file.
Je grimpe les escaliers quatre à quatre : Sylvie est dans le salon, assise dans le canapé, habillée et visiblement fraîchement douchée. Elle me sourit, je me rue pour l’embrasser avidement, je n’ose presque plus la regarder, le désir que j’ai pour elle est quasiment douloureux, tout mon corps n’est que tension, un arc bandé à son maximum.
— Alors ?
— Tu veux savoir si tu es cocu ? me dit-elle en souriant.
Elle se retourne et se tend pour att****r son sac à main, farfouille quelques instants et me tend la boîte de capotes. Il en manque trois.
Je me sens défaillir, j’ai dû blanchir, car légèrement inquiète, elle me demande doucement :
— Ça va, mon chéri ?
— Oui, c’est juste que ça fait bizarre… Vous l’avez vraiment fait ?
— Oui mon chéri, trois fois.
— Et ?
— Et quoi ? Tu veux savoir si c’était bien ? S’il est mieux monté que toi ? S’il m’a fait jouir ?
— …
Il m’est impossible d’articuler le moindre mot ; je l’embrasse à nouveau, sa ...