1. Merci mon petit cocu. Tu ne bouges pas de la chamb


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Première fois BDSM / Fétichisme Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... vulgaire, obscène de désir. Je me rends, je me recule et m’assois sur mes talons en commençant, moi aussi, à me branler. Je la regarde fixement, elle aussi en train de faire des petits allers-retours sur son clitoris, sa chatte rouge et luisante comme une promesse. Elle se branle rarement devant moi, l’occasion est spéciale, hyper sexuelle.
    
    — C’est mieux ainsi, mon chéri.
    
    Nous nous activons mutuellement et je la vois déjà se raidir dans un orgasme fulgurant, les fesses se relèvent, le dos s’arque, elle jouit. Moi aussi, quasiment en même temps qu’elle, je lâche une giclée de sperme qui va atterrir mollement sur le couvre-lit, entre ses cuisses. Je m’allonge à côté d’elle et nous nous embrassons encore.
    
    — Je t’aime.
    
    — Moi aussi…
    
    Cette nuit-là, nous avons ainsi « fait l’amour » trois autres fois avant de tomber de fatigue dans un sommeil profond et réparateur.
    
    Le lendemain matin, jour de notre retour à Paris, je fus réveillé par la sonnerie du téléphone ; je l’embrasse et tente quelques menus travaux d’approche.
    
    — Bas les pattes, me dit-elle en se levant direction la salle de bain.
    
    Pendant qu’elle se douche, je réfléchis à la journée à venir : vais-je le faire, vais-je la laisser me cocufier ou la raison va-t-elle enfin reprendre le dessus… Tout ça n’a aucun sens : j’aime ma femme, adorable et intelligente, elle m’aime aussi et je la jetterais dans les bras d’un autre ?
    
    Je bande (on réfléchit mal quand on bande).
    
    La voilà qui revient :
    
    — Je ...
    ... me demande ce que je vais mettre. Un truc sexy et quand même confortable pour le voyage. T’as une idée ?
    
    — Peut-être la petite robe beige ? je propose.
    
    — Bonne idée, ça mettra en valeur mon bronzage. Au fait, j’ai repéré un distributeur de capotes dans le hall de l’hôtel… Tu irais en acheter une boîte pendant que je finis de me préparer ? Des extralarges, s’il te plaît…
    
    Sans barguigner, je m’exécute – je bande comme un adolescent devant le distributeur – puis nous finissons les sacs sans un mot supplémentaire échangé et nous dirigeons vers l’aéroport.
    
    Formalités. Attente. Re-formalités. Re-attente. Cette journée ne semble être constituée que de cela : l’attente.
    
    Enfin nous embarquons.
    
    — Tu devrais envoyer un message à Denis pour lui confirmer l’heure d’arrivée, me glisse-t-elle.
    
    Décollage.
    
    Rien de particulier durant le vol à part cette attente infinie lourdement chargée de tension sexuelle et cet échange :
    
    — Tu as une idée de comment tu vas procéder ? me demande-t-elle.
    
    — Eh bien j’imagine, si tu en as toujours envie, que je vais lui demander de me déposer à la première station de métro venue et que je vous rejoindrai plus tard ?
    
    — Parfait, mon chéri…
    
    Elle m’embrasse et me regarde malicieusement :
    
    — Et puis si tu as des arrière-pensées, tu ne descends tout simplement pas de sa voiture et tu ne me lâches pas d’une semelle. J’ai passé un séjour merveilleux, j’ai joui plus souvent qu’à mon tour, si tu ne le sens pas, on laisse tomber. Quoi ...
«12...678...»