1. Merci mon petit cocu. Tu ne bouges pas de la chamb


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Première fois BDSM / Fétichisme Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... performance sportive, si tu vois ce que je veux dire…
    
    Comme convenu, après le repas (copieusement arrosé, cela va de soi, et sans lapin ce coup-ci), je me lève et déclare :
    
    — Je me sens fatigué et pas très en forme, je vais me coucher.
    
    — Je t’accompagne, répond Sylvie.
    
    Dans la chambre, elle m’embrasse et dit :
    
    — Merci mon petit cocu. Tu ne bouges pas de la chambre, je n’ai pas envie de t’avoir dans les pattes, tu pourras te branler là-dedans en m’entendant jouir tout à l’heure.
    
    Et elle enlève sa culotte, me la tend et rajuste sa robe.
    
    — À tout à l’heure, mon chéri, profite du son…
    
    Je suis comme un con, seul dans le lit, son sous-vêtement à la main. Au début, il ne se passe rien, j’entends seulement quelques éclats de conversation et quelques rires. Puis des pas s’approchent de la porte du bureau, je fais mine de dormir.
    
    La porte s’entrebâille et Denis passe la tête dans le bureau. Il ne dit rien et repart.
    
    J’entends à nouveau des rires puis du silence. Et ça commence : ma femme gémit dans la pièce d’à côté et rapidement, les gémissements se transforment en cris. Je me masturbe doucement dans sa culotte en pensant que je ne l’avais jamais entendu ainsi, avec moi. Je me sens inquiet, jaloux et, paradoxalement, très excité, je ralentis le rythme de ma masturbation ...
    ... pour ne pas jouir trop vite pendant qu’eux, à côté, accélèrent. Ça ne dure finalement pas très longtemps, mais que ce fut intense. Ma femme jouit bruyamment et une molle giclée de sperme tiède atterrit sur mon ventre. Je m’essuie pendant que le calme revient dans l’appartement : de nouveau du silence entrecoupé seulement de quelques rires. J’ai joui, une bonne partie de l’excitation est retombée et je me sens honteux et misérable. Je n’ai qu’une envie, que ma femme vienne se coucher contre moi.
    
    Finalement, je l’entends se laver les dents avant de me rejoindre dans le lit. Je la serre dans mes bras, elle râle gentiment :
    
    — Tu es encore humide sur le ventre… tu t’es bien branlé, mon chéri ?
    
    Que lui répondre, l’évidence est humiliante : je me suis masturbé pendant qu’à côté ma femme se faisait sauter par mon meilleur ami.
    
    — C’était bien ? ajoute-t-elle en me venant se lover contre moi, amoureusement.
    
    Elle m’embrasse tendrement et me dit simplement :
    
    — Merci, mon chéri, c’était une expérience fantastique ; pas seulement ce soir, mais l’ensemble des dix jours ont été géniaux pour moi. Je t’aime très fort, mon petit cocu.
    
    Je commence à la caresser, à lui embrasser les seins, le ventre, le cou. Elle se détend contre moi et je me rends tout à coup compte qu’elle s’est en fait endormie… 
«12...78910»