L'éducation de Judith
Datte: 28/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Clar, Source: Hds
... plus loin. Son autre main attrape mon visage et le tourne vers le sien, nos lèvres se rapprochent, je ferme les yeux. Je ne pense plus à rien. J’oublie tout. Mon mari, les enfants, la boutique. Se laisser aller. Sa langue s’introduit dans ma bouche et cherche la mienne. Je réponds à son baiser. Il prend son temps, fouillant ma bouche. Sa main descend sur ma poitrine qu’il flatte par-dessus le pull. Je le laisse faire, c’est si bon. Encouragé par ma passivité, sa main s’insinue sous mon pull, remonte sur mes seins qu’elle empaume tour à tour. Je ne sais comment, il dégrafe mon soutien-gorge en un tour de main, et libère mes seins. Il retire mon pull, Sa main reprend son ballet sur mes seins. Mes têtons se dressent. Il m’embrasse toujours. Je sens sa main descendre sur mon ventre, sur mes cuisses, elle se glisse sous ma jupe, sous ma culotte pour atteindre mon sexe trempé. Il trouve mon bouton. « Attends, je reviens ». Moins d’une minute après il revient, nu, le sexe bandé. Il m’allonge sur le canapé, plonge la tête entre mes cuisses après avoir retroussé ma jupe sur mon ventre et m’emmène aux portes de l’orgasme. Je ne suis plus qu’un sexe, je n’ai plus qu’une envie, jouir. Il se relève, coiffe son sexe d’un préservatif, remonte mes cuisses et s’introduit en moi d’une longue et lente poussée. Son sexe est plus gros que celui de Christophe. Il me remplit. Il entame son va et vient, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, de plus en plus saccadé. Je me laisse ...
... emporter par un torrent de lave en gémissant. Il me suit de peu. Je regarde ma montre. Presque 15 heures. Je n’ai pas vu le temps passer. Il faut que je rentre. « Tu reviendras ? » « Oui ». Un dernier baiser. Dans la voiture qui me ramène à la maison, je réalise que j’ai trompé Christophe pour la première fois, mais que j’avais besoin de me sentir à nouveau femme. Je réfléchis à ce qui sera le plus simple. Rejoindre Paul le soir, une fois que les garçons et que Christophe seront couchés. Des créneaux de deux heures entre 23 heures et 1 heure. C’est ça. Et c’est ainsi que débuta ma liaison avec Paul. Nous nous voyions une fois par semaine, parfois moins, toujours chez lui. Il me comblait à chaque fois, revisitant le kamasoutra et me faisant découvrir des plaisirs insoupçonnés. Lorsque je le rejoignais, je portais des sous-vêtements sexy, des bas tendus par un porte-jarretelle que je gardais lorsque nous faisions l’amour. Il m’arrivait de jouir plusieurs fois de suite. Puis nos rendez-vous s’espacèrent. Je fus néanmoins triste lorsque Paul m’informa qu’il partait 3 mois dans sa maison des Landes pour l’été.
Peu après son départ, le facteur apporta un matin le courrier. Parmi les factures et autres catalogues publicitaires, il y avait une enveloppe brune. Intriguée, je l’ouvris. Ce que je vis me figea. Une liasse de photos où on me voyait avec Paul Guibaud, chez lui, plus déshabillés qu’autre chose, en train de nous livrer à des joutes amoureuses. Un petit mot accompagnait les ...