L'éducation de Judith
Datte: 28/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Clar, Source: Hds
... complimenta sur mon sourire. Ses remarques m’étaient agréables, et je me mis à guetter sa venue. Lorsque la boutique était vide, il s’attardait, distillant des compliments à mon égard. Je me sentais flattée et vaguement troublée. Un jour, la boutique était vide, pensant à lui, je sentis des picotements au niveau de mon bas ventre. Je me dirigeai vers l’arrière-boutique, avisai un rouleau à pâtisserie, je retroussai ma jupe et frotta mon sexe contre le cylindre. L’orgasme fut bientôt là et je dus me mordre les lèvres pour ne pas crier. Cinq minutes plus tard, il était là et s’étonna de mes joues rouges et de mes yeux brillants. Mon dieu, lisait-il dans mes pensées ? La semaine suivante, il me proposa de passer chez lui « à l’heure que je voulais, le jour que je voulais, vous me direz quand », il avait un livre de recettes anciennes de pâtisserie qu’il souhaitait de montrer « votre mari pourra peut-être y découvrir de nouvelles recettes ». Sa proposition me troubla plus que de raison. Ce n’était pas convenable, mais je me sentais seule et délaissée. Et puis…je me faisais peut-être des idées…… La boutique était fermée de 13 heures à 16 heures, puis le soir à 20 heures. Involontairement, c’est mon mari qui déclencha la rencontre : « Mardi prochain j’ai rendez-vous à Orléans à 14 heures pour signer avec le centre de formation des apprentis. On en aura un à la rentrée. » Je confirmais alors à Monsieur Guibaud pour le mardi à 14 heures. Ça me laissait une heure de libre.
Devant ...
... la penderie, j’hésitais sur la tenue à mettre. Je voulais plaire, mais sans provoquer. Après tout, je me faisais peut-être des idées. Je choisis une jupe s’arrêtant juste au-dessus des genoux, un pull léger rose pâle et des sous-vêtements de dentelle noire. A 14 heures, je sonnais chez Monsieur Guibaud. « Bonjour, merci d’être venue, vous êtes la bienvenue. Vous êtes…ravissante. Mais tout d’abord, appelez-moi Paul. Comme mes amis le font. ». Nous nous installons dans le salon, moi sur le canapé, lui dans un fauteuil en face. « Je vous sers un verre ? j’ai un excellent petit bordeaux blanc, frais et léger ». De peur de passer pour une mijaurée si je refuse, j’accepte, moi qui habituellement bois très peu d’alcool. « Permettez-moi de vous appeler Judith, je ne me vois pas vous donner du madame. ». Paul est un homme charmant, il a de la conversation, du tact, de la culture, il est drôle. Il faut que je me méfie. « Ah oui, j’en oubliais le prétexte de votre venue, le livre de pâtisseries anciennes. Je vais le chercher ». Deux minutes plus tard il revient avec un vieux livre qu’il me présente tout en s’asseyant près de moi.
« 19 ».
« Comment ça 19, que voulez-vous dire monsieur Gui, euh..Paul ? »
« 19. Chanel. Votre parfum. Il vous va très bien. On le dirait fait pour vous ».
Je sens son bras passer derrière moi et se poser sur mon épaule, m’attirant doucement vers lui. Je voudrais résister, mais je m’en sens incapable. Un peu de tendresse. Juste un moment. Ça n’ira pas ...