L'éducation de Judith
Datte: 28/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Clar, Source: Hds
... photos « Bientôt mon tour j’espère. Bisous. » Je remis précipitamment les photos dans l’enveloppe et l’enveloppe dans mon sac. Qui pouvait être derrière tout ça ?
Deux jours plus tard, une nouvelle enveloppe brune. Pas de photo mais une phrase « à partir d’aujourd’hui, plus de pantalon. Des jupes. Et courtes si possible ». Je m’exécutai. De peur que mon maitre-chanteur n’envoie de lettres à mon mari. Qui cela pouvait-il être ? un client ? un voisin ?
La semaine suivante, nouvelle enveloppe brune. Une photo où on me voit en bas et porte-jarretelle en train de sucer Paul. « Tu vois, les bas te vont très bien. Exécution ».
Puis, un peu plus tard nouvelle missive brune « Dis adieu à tes culottes » Je m’exécutais, un peu gênée mais je dois dire de plus en plus excitée. Il y avait juste en période de règles que je me garnissais normalement.
La boulangerie tournait bien. Yvon, l’apprenti était un garçon sérieux et travailleur. J’avais remarqué qu’il jetait de temps en temps des regards dans ma direction. Mon dieu, pouvait-il deviner ? Un jour, à son regard dilaté, je compris qu’il avait dû surprendre, sans doute fugitivement, mes cuises gainées de nylon, et peut-être d’avantage. Loin de m’horrifier, cette idée m’excita.
Ce fut un jeudi, juste avant la fermeture que tout bascula. J’allais fermer quand un jeune homme, un peu métis, qui venait régulièrement à la boulangerie arriva en courant. « Excusez-moi. Je suis en retard. Un pain et un éclair au café s’il vous ...
... plait ». Je me tournais pour empaqueter l’éclair. Soudain, je sentis un frôlement dans mon dos. « Ne dis rien. J’ai attendu que ton mari et l’apprenti soient partis. On est bien là tous les deux. Depuis le temps. » Je sentis deux mains s’insinuer sous ma jupe. « C’est bien. Tu n’as pas de culotte. Et je te trouve toute mouillée. Toute frémissante. Ne bouge pas. » J’entendis le rideau de la boulangerie se baisser. « Maintenant on est tranquille. Je m’appelle Karim. Tu me plais. Je veux te baiser depuis pas mal de temps. Mieux que ton Paul. Tu vas aimer, je suis très doué à ce qu’il parait. « Bientôt, je me retrouvais nue dans le magasin. Karim, accroupi devant moi me léchait la chatte. Ses mains pinçaient doucement des mamelons. Il se releva, se déshabilla devant moi. Sa verge pulsait, décalottée. Elle me sembla énorme. Il était un peu plus grand que moi. Il me retourna, appuya mes coudes sur le comptoir et me pénétra en levrette. Je perdais pied. La sensation était plus forte qu’avec Paul.
Il me lima longtemps, me tenant parfois par les hanches, parfois par les seins. Je jouis deux fois de suite. Il continuait à me prendre « alors, c’est mieux qu’avec ton mari ? «
« oui »
« et mieux qu’avec Guibaud ? «
« oh oui, oui, c’est mieux »
« tu aimes ma queue ? dis le, je veux t’entendre le dire
« oui, j’aime ta queue »
« dis moi que tu veux baiser encore avec moi »
« ouiiiii je veux…que tu me baises encore… que tu reviennes…. Qu’on aille ailleurs, où tu veux ...