L'éducation de Judith
Datte: 28/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Clar, Source: Hds
L’éducation de Judith
Je m’appelle Judith. J’ai 38 ans, mariée, mère de deux garçons, mon mari est boulanger. Une vie sans histoire jusqu’à ce que……
J’ai connu Christophe mon mari à 18 ans. Il en avait 21. C’était pendant les vacances, au bal des pompiers. Jusqu’à lors, je n’avais connu que deux garçons. Le premier avait été un flirt de vacances, rencontré deux années plus tôt en Vendée où nous passions nos vacances. Il m’avait fait découvrir ce qu’embrasser sur la bouche signifiait, je trouvais ça agréable, et le dernier soir il avait dégrafé mon haut de maillot de bain et caressé mes seins. Le lendemain, nos vacances finies, nous reprenions la direction d’Orléans. J’emportais le souvenir de ses mains sur mes seins, et le soir je me caressais en y repensant. L’été suivant, je rencontrais Loïc, de nouveau quelques jours avant la fin des vacances. Il était entreprenant et dès le deuxième soir, au cinéma, il avait glissé sa main sous ma culotte et m’avait masturbée. Je me souviens du sentiment de honte qui m’avait habité à ce moment-là. Le lendemain, il m’avait entrainé chez lui, m’avait déshabillée et sans préliminaire avait emporté ma virginité. Il paraissait content de lui, je ne garde pas à un souvenir impérissable de ce moment, la douleur ayant été plus importante que le plaisir.
J’ai donc rencontré Christophe au bal des pompiers. Il était en vacances dans notre village, et je m’étais retrouvée à danser avec lui. Nous avions sympathisé, il m’avait appris ...
... qu’il était boulanger et grâce à un petit héritage il allait pouvoir acheter une affaire d’ici quelques mois. Nous nous sommes revus, je suis devenue sa petite amie, et quelques mois plus tard nous nous sommes mariés et je suis devenue « la boulangère », celle qui tient la boutique et est au contact des clients. Deux garçons sont nés de notre union, et je me suis petit à petit installée dans une vie monotone : s’occuper des enfants, de la boutique, de la maison, avec en plus un mari adorable mais se couchant vers 20 heures pour se relever à 3 heures. Avec ce rythme, ma libido s’est éteinte progressivement, réveillée de temps à autre pendant les vacances ou par quelques séances de plaisir solitaire dérobés au hasard des circonstances.
C’était un jour de printemps, une de ces premières belles journées où le soleil darde des rayons annonciateurs de l’été. J’avais mis une jupe en jean (j’étais généralement en pantalon), et je ne sais pas pourquoi, je me sentais d’humeur joyeuse. Peu avant midi, Monsieur Guibaud, un client fidèle, vint chercher son pain. C’était un bel homme, d’environ soixante ans, un de ces hommes qui ont une classe naturelle et ont su l’entretenir. Je savais, parce qu’il me l’avait raconté, qu’il était seul, sa femme l’ayant quittée. « Tiens, vous avez meilleure mine aujourd’hui » me dit-il « cela fait plaisir à voir, vous sembliez dépérir ». Il paya son pain, me salua et quitta la boutique. Il venait tous les deux jours, et deux jours plus tard, donc, il me ...