Austerlitz, voie 16
Datte: 27/12/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
fdanus,
fsodo,
journal,
lettre,
extraconj,
Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
... qu’il y avait des horloges partout. Et demander l’heure à une jolie fille permet d’entamer la conversation. J’ai bien failli rentrer seule dans ce compartiment qui nous été proposé par un employé non gréviste, et lui fermer la porte au nez :Non, Julien, je ne veux pas de toi. Il fallait me garder quand c’était l’heure. Mais de quoi aurais-je eu l’air, devant le jeune homme ? Pour être honnête, je dois reconnaître que je savais bien que je n’allais pas le chasser, trop curieuse que j’étais de voir comment il allait s’y prendre. Comment il s’y prenait avec une étrangère.
Sa braguette était humide quand il est revenu des toilettes, il n’avait pas perdu l’habitude de se nettoyer convenablement la verge. Il pensait donc qu’il avait une chance d’être sucé. Je suis allée moi aussi me mettre bien propre.
Des yeux suppliants de chien battu. Mais il n’osait pas. La lumière éteinte, strip-tease devant l’ampoule bleue de la veilleuse. Bien sûr, qu’il me regardait ! Il avait pris un air émerveillé quand il avait vu mes seins pour la première fois. Comme il me les tétait goulûment ! Lui tournant le dos, cette nuit, j’en ai pincé les bouts pour les faire grossir, je lui ai bien montré mes fesses en enlevant lentement ma petite culotte et je me suis retournée vers lui, mine de rien, pour qu’il voit aussi mon pubis. Je rigolais en moi même, ayant envie de chantonner, comme autrefois, en imitant la voix bêlante du Jules des Églises, à la mode à cette époque : non, je n’ai pas changé… ...
... Et je me suis couchée.
Il remuait sur sa couchette, la tête tournée vers sur moi. Je ne bougeais pas, j’attendais. J’étais certaine qu’il allait prendre l’initiative. Je le repousserais peut-être, ou pas, je ne savais pas, cela dépendrait. Il est descendu, s’est penché sur sa valise dans laquelle il a farfouillé en faisant assez de bruit pour me réveiller si j’avais dormi. Ses fesses étaient à quelques centimètres de mon visage. Il a allumé la lampe individuelle de la couchette du bas, a pris un bouquin, s’est redressé, a allumé la lampe de sa couchette, a éteint la première en se mettant de biais pour me faire voir qu’il bandait, a mis un pied sur la petite échelle mais s’est ravisé et m’a fait face.
Il bandait en effet, pas pour moi mais pour cette inconnue que j’étais. Il a pris un peu de ventre, pas beaucoup. Nous nous sommes regardés pendant quelques instants. Le coup du mépris, une petite moue et le dos tourné ? Il l’aurait bien mérité. Mais je suis restée impassible, tout simplement, alors qu’il me questionnait du regard. Il a tendu la main vers son portefeuille. Non, il n’allait quand même pas me payer ! Mon idée saugrenue m’a fait sourire, il a pris cela pour un encouragement et il a sorti un préservatif.
J’aurais pu encore mettre fin à tout cela, je ne l’ai pas fait. Il a avancé la main pour saisir ma couverture et la faire glisser vers le bas, lentement. Il a caressé mes seins et s’est penché pour y porter ses lèvres, très doucement. Puis elles ont fait le ...