1. Le garçon qui ne voulait pas grandir


    Datte: 26/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... des femmes, de me peloter pendant l’office, voire carrément de me branler à pleine main, tandis que ma mère lisait au micro les textes sacrés choisis parmi les plus épicés. Parfois, elle récitait ceux qu’elle connaissait par cœur, car elle avait une excellente mémoire.
    
    Lors de chaque célébration, un membre de l’assemblée se faisait crucifier, avec des cordes, voire avec de vrais clous, à la manière des Philippins. Ils étaient bien sûr nus sur le bois du supplice pendant que le prêtre récitait la prière eucharistique, avec un sédile enfoncé dans l’anus. Lorsqu’il s’agissait d’une femme, le curé la pénétrait toujours au moment de l’élévation – sans préservatif, car c’est interdit par l’Église catholique.
    
    Mais revenons à ce fameux jeudi, où nous étions tous les trois à la maison, Maman, Charlotte et moi. Sous les pantoufles, les pieds de maman, que ses jambes croisées amenaient à la hauteur de mon nez, m’excitaient beaucoup. Ils diffusaient des odeurs merveilleuses. C’était la seule partie du corps de ma mère que j’avais le droit de toucher. Je lui ai demandé la permission de jouer avec. Accordé, à la condition de lui prodiguer un long massage à l’huile d’argan. J’avais l’habitude et pratiquais le pétrissage plantaire avec un art consommé, depuis mon plus jeune âge.
    
    Puis, après avoir sucé un à un les orteils, j’ai frotté ma verge tendue entre les deux petons maternels, afin de me soulager de la tension sexuelle qui m’opprimait depuis le matin. Habituellement, ...
    ... j’inondais les pieds d’une giclée de semence que je devais lécher ensuite. Mais ce jour-là, ma mère a regardé sa montre et dit :
    
    — Oh, il est déjà l’heure ! Habille-toi vite, on y va !
    
    — Où allons-nous ?
    
    — Tu verras bien. Tout ce que je te demande, c’est d’être obéissant. Tu m’avais bien dit que tu n’aimes que moi et que tu es disposé à tout faire pour que je sois contente ?
    
    — Oui, Maman.
    
    — C’est parfait. Si tu venais à changer d’avis, Charlotte en subirait les conséquences.
    
    — Jamais de la vie ! Plutôt crever !
    
    — Alors, sois obéissant et dépêche-toi.
    
    Nous sommes montés dans sa voiture. Pendant le trajet, Maman n’a rien dit. Elle semblait gênée, et en même temps excitée de ce qui allait se produire. J’avais obtenu la permission d’emmener Charlotte, ce qui n’était pas si fréquent, et de m’habiller en garçon, ce qui était encore plus rare. J’étais frustré de ne pas avoir eu le droit d’éjaculer. Puis nous sommes arrivés dans un vaste manoir en périphérie de la ville, avec un jardin entouré d’une épaisse rangée de buissons. Ma mère a sonné à la porte et une domestique en tenue de soubrette est venue nous ouvrir, afin de nous mener dans un grand salon où deux dames qui se ressemblaient beaucoup étaient assises sur un sofa rouge sang. Elles étaient vêtues de tailleurs, tirées à quatre épingles, bottées de cuir noir, maquillées, coiffées. C’étaient des femmes mûres, d’une cinquantaine d’années, dont l’air sévère m’intimidait.
    
    Un silence pesant régnait sur la pièce ...
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