1. Le garçon qui ne voulait pas grandir


    Datte: 26/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... cocu, son fils en pleine crise de puberté !
    
    J’étais en colère. Il fallait une punition exemplaire : je l’ai fouettée sévèrement, après l’avoir attachée au plafond par les pieds. La pauvre Charlotte en a perdu une partie de son pelage. Maman m’a regardé infliger la punition sans rien dire. Puis elle est venue m’aider à augmenter ses souffrances en lui insérant de petites aiguilles dans les seins. J’ai trouvé cela horrible ! Dans mon imagination, la pauvre Charlotte criait et pleurait pour que le supplice s’arrête. C’était pire que si on me l’infligeait.
    
    — Non, ai-je crié finalement : je préfère que tu me le fasses à moi !
    
    — À toi, mon grand ? C’est une idée, ça. Pourquoi pas ! Mais tu crois que tu pourras le supporter ?
    
    — Pauvre Charlotte, regarde : elle est traumatisée, ai-je répondu en la détachant et en la serrant dans mes bras !
    
    Puis j’ai tout pardonné à mon doudou préféré, et pour tout oublier, Maman m’a libéré de ma cage, nous avons fait l’amour, bouche-à-bouche et sexe à sexe, pendant que la mère nous filmait. Charlotte m’a juré qu’elle ne serait plus jamais adultère. D’ailleurs, à cette occasion, nous nous sommes promis en mariage. Elle avait toujours son gode-ceinture, et nous avons pratiqué le chevillage : elle m’a sodomisé profondément, ce qui était pour moi une découverte. Pendant ce temps, Maman nous filmait. Je crois qu’elle a beaucoup aimé ce qu’elle a vu.
    
    Souvent, dans ce salon, elle recevait sur ce même canapé des partenaires de sexe, tantôt ...
    ... des hommes, tantôt des femmes, ou même à l’occasion des groupes, afin de pratiquer le gang-bang – une fois même, une compagnie entière de légionnaires parachutistes qui venait de fêter la promotion de l’un des leurs. J’étais parfois autorisé à y assister (habillé en fille), mais pas à y participer. Maman se faisait remettre de l’argent pour cela. Quand même, j’avais peur pour elle, parce que les individus qu’elle rencontrait étaient parfois bizarres, pervers, voire brutaux, et ils me regardaient d’une manière assez déstabilisante. Alors, je me suis consolé dans les bras doux de Charlotte, qui me comprenait si bien. Ce n’était pas avec ce que gagnait mon père que nous aurions pu soutenir le train de vie que nous avions. Dans le monde de la prostitution, Maman était ce que l’on appelle une châtelaine : elle ne refusait rien, et tout le monde ne pouvait pas se la payer.
    
    Tous les dimanches matin, nous allions à la messe. Les paroissiens et les paroissiennes étaient tous des croyants à l’image des clients de Maman : pervers, nymphomanes ou obsédés sexuels, masochistes, sadiques ou bien les deux. Leur Bible semblait avoir été écrite par le marquis de Sade – quoique la vraie Bible, en matière d’érotisme, contienne des morceaux d’anthologie si extrêmes que l’on ne pourrait les raconter ici sans risquer la censure, en particulier dans l’Ancien Testament. J’y allais en tenue de fille, maquillé, parfumé et pomponné, avec une robe assez courte qui permettait à mes voisines, toujours ...
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