1. Le garçon qui ne voulait pas grandir


    Datte: 26/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... qui était plutôt sombre, avec de lourds rideaux ocre qui masquaient la lumière d’hiver. Les meubles eux-mêmes, massivement sculptés, semblaient se souvenir des siècles d’obscurantisme où aucune joie n’était tolérée. J’étais mal à l’aise.
    
    — Ce jeune homme est-il bien à jeun d’éjaculation, a demandé la dame de droite ?
    
    — Oui, Madame, a répondu ma mère d’une voix hésitante.
    
    — Depuis combien de temps ?
    
    — Depuis hier.
    
    — C’est peu.
    
    — Mais c’est un chaud lapin. Habituellement, il éjacule trois à quatre fois par jour, au moins.
    
    — Dans ce cas, nous devrons nous en satisfaire. À partir du moment où il est bien puceau.
    
    — Il l’est.
    
    — Ni fille, ni garçon ?
    
    — J’y ai veillé. Faites-moi confiance.
    
    — Il doit consentir d’avance à tout ce qu’il subira, a dit la femme de gauche.
    
    — Il consent. N’est-ce pas, Stéphane ?
    
    — Euh… oui ! Je consens.
    
    — Mais il doit ignorer la suite.
    
    — Il l’ignore.
    
    — Très bien. Dans ce cas, pour que tout soit clair, je vais vous payer d’avance.
    
    Elle a tendu à ma mère une enveloppe que celle-ci a ouverte : elle était remplie de billets.
    
    — Déshabille-toi, jeune homme, a dit la dame de gauche d’un ton qui n’admettait pas la controverse.
    
    J’ai obtempéré, quelque peu intimidé, mais aussi excité par cette situation.
    
    — C’est un bel engin que tu as là, déjà en érection. Félicitation, Madame.
    
    — Merci.
    
    Elle m’a touché le pénis et palpé les testicules, comme un médecin qui vérifie que tout est en place, ce qui n’a ...
    ... fait que renforcer mon érection.
    
    — Tu aimes quand je te tripote, n’est-ce-pas ?
    
    — Oui, Madame.
    
    Elle essayait d’abaisser à la main mon pénis en position de repos, et naturellement, il retournait toujours vers le haut dès qu’elle le lâchait, encore plus ferme qu’auparavant. Elle a constaté que de la rosée du désir s’écoulait, ce qui semblait la satisfaire : elle a hoché la tête et les regards des deux dames se sont croisés.
    
    — Voyons, mon garçon, tu dois avoir l’habitude de te caresser le zizi, n’est-ce pas ?
    
    — Plusieurs fois par jour, sous ma direction, a répondu ma mère à ma place.
    
    — C’est bien. Mets-toi à genoux devant nous, et fais-le, je te prie.
    
    Elle a pris en mains une longue règle de métal qui m’inquiétait un peu. Je me suis astiqué fermement. Mais, juste avant de venir, elle m’a tapé sur les testicules avec sa règle.
    
    — Ça suffit ! Maintenant, suis-moi.
    
    Je n’ai pas été autorisé à remettre mes vêtements, mais pas contre, j’ai pu emmener Charlotte. Je me suis retrouvé dans une cellule avec un autre garçon, nu également. Il était en érection et son sexe était de très grande taille.
    
    — Salut ! Moi, c’est Pierre, et toi ?
    
    — Stéphane.
    
    — Bienvenue en enfer ! C’est la première fois que tu viens ici, n’est-ce-pas ?
    
    — Oui. Et toi ?
    
    — Je viens ici chaque semaine. En fait, j’adore ça.
    
    Son érection s’est encore renforcée au moment où il a dit cela. La taille de son sexe était impressionnante, et sa musculature aussi : un véritable étalon.
    
    — ...
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