1. Le garçon qui ne voulait pas grandir


    Datte: 26/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... procuration. Elle a joui en même temps que Miko, alors que la pauvre Barbie hurlait sous le fouet de la méchante Steffie. Mais dans mon histoire, Barbie n’était pas totalement innocente : elle était une espionne que les deux autres venaient de surprendre en train de tenter de voler des plans secrets. Pour la faire parler, il faudra lui ensuite lui chatouiller les pieds et la faire jouir implacablement sous le feu d’un puissant vibrateur. La belle blonde ultramince n’allait pas tarder à se venger et les rôles du bourreau et de la victime devaient bientôt s’échanger. Cependant, pour l’heure, les tourments de Barbie n’étaient pas terminés : Steffie et Miko enfilaient leurs godes autour de leur bassin afin de s’enfoncer dans leur soumise en double pénétration. Barbie protestait, mais elle adorait cela, au point qu’elle s’était laissée prendre volontairement afin de tomber entre les griffes de ses tortionnaires de charme, et bientôt, elle criait sous les orgasmes délirants qui déferlaient sur elle. J’imitais très bien ses cris aigus, disait ma mère. Malgré ma voix de garçon.
    
    Je me souviens de la première fois où Maman s’est masturbée devant moi. C’était six mois auparavant. Elle me l’avait proposé, alors que j’étais encore innocent des réalités de l’anatomie féminine. Elle s’est déshabillée complètement, a pris ses jouets sexuels et m’a tout montré de son corps, en procédant lentement pour que je comprenne bien – un vrai corps de femme à portée de moi, mais que je ne pouvais ...
    ... pas toucher ! Puis elle a joui en murmurant : dommage que tu ne sois pas une fille. Depuis, elle ne me cache plus rien de sa sexualité, ni solitaire, ni en couple. Une sexualité frénétique.
    
    Parfois, Maman se levait de son canapé pour venir jouer avec moi, comme une grande sœur lubrique. Tous les deux, nous inventions de nouveaux scénarios aux parfums de cyprine pour mes Barbie dévergondées. Elles s’aimaient, copulaient amoureusement entre elles, se trahissaient, se détestaient, se déchiraient, abusaient sexuellement les unes des autres, finalement se réconciliaient sur l’oreiller, et tout recommençait dans un éternel ballet de luxure où les hommes n’avaient pas leur place. Sans jamais avoir fait l’amour, je connaissais tout des positions de la sexualité lesbienne, toutes les pratiques, toutes les perversions, y compris les plus extrêmes, et je possédais tous les accessoires coquins en miniature. J’avais même un Sybian à l’échelle de mes poupées qui vibrait vraiment et sur lesquelles mes personnages de plastiques s’envoyaient en l’air comme des grandes. Quand, dans notre histoire, elles atteignaient l’orgasme, c’était comme si je le ressentais moi-même, mystérieusement. Puis ma mère me chatouillait les bourses du bout des doigts pendant que je m’astiquais ; elle recueillait mon sperme dans une tasse et m’obligeait à l’avaler, parfois allongé d’une larme de whisky, lorsque j’avais été docile à ses fantaisies. Ou bien, à titre de récompense pour lui avoir inventé un conte ...
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