1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (5)


    Datte: 23/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... vis alors le patron permuter avec Max.
    
    — Eh mais dites-moi, votre femme m’a l’air d’être très... ouverte... J’ai l’impression que son petit trou est... comment dire... très épanoui... j’ai bien envie d’élargir encore le cercle de ses admirateurs.
    
    — Si le cœur vous en dit Monsieur...
    
    — Pas de Monsieur... appelez-moi François-Xavier... et bien sûr que ça me dit. J’ai une prédilection marquée pour fourrer ma pine dans les culs accueillants.
    
    Et sans plus attendre, il encula ma mère.
    
    La partouze battait son plein à nouveau.
    
    Déjà, sur tante Lucie, ils étaient trois, deux qui la prenaient en sandwich et un qui se faisait sucer.
    
    Le nain m’invita à une double.
    
    — Dis donc, tu es moins bégueule toi aujourd’hui. Tu as l’air heureux dans la bouche de la dame. Tu veux pas qu’on se la prenne en double ?
    
    Si... si, si.
    
    — Bien... tu deviens raisonnable.
    
    Il releva la femme, me pria de m’allonger pour qu’elle vienne sur moi et son sexe humide épousa le mien dur comme du bois. Ses seins s’écrasèrent sur ma poitrine, sa langue se mêla à la mienne et je sentis son corps frissonner quand le braquemart du nain lui défonça l’anus. La pression contre mon vit fut énorme. C’était ...
    ... une sensation extraordinaire. Je voulais prolonger cet instant.
    
    La femme ne cessait de gémir quand elle ne me paluchait pas... avec rage.
    
    — On prend votre femme tous les deux Roland ?
    
    — Oui Monsieur.
    
    Ainsi presque côte à côte, les trois femmes étaient couvertes. Tante Lucie se prenait Mon frère et Christian tandis qu’elle léchait le gros cameraman, Louis ; Maxime se faisait sucer par maman pendant que papa et patron la grimpaient et Grégoire et moi profitions pleinement de la dame tandis que le jeune cameraman, Joey, prenait image sur image.
    
    Le bruit des chairs qui claquaient sous les coups de bites et le son des femmes au bord de l’extase se mêlaient aux jurons des hommes ; La sueur perlait de partout et se confondait avec les sécrétions féminines. L’odeur du sexe commençait à imprégner l’atmosphère.
    
    Au bout d’un moment il fut décidé de changer. Avant de quitter la femme du patron, elle me glissa à l’oreille.
    
    — Économise-toi, viens jouir entre mes seins.
    
    Je ne songeai bientôt plus qu’à cette perspective et tout en sodomisant tante Lucie je n’avais de regards que pour les lourdes mamelles de la patronne dont la voluptueuse promesse me fit tout oublier.
    
    A suivre 
«1234»