1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (5)


    Datte: 23/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... dire qu’il se la mettrait bien au bout.
    
    Quant au patron, un quinquagénaire grisonnant, très athlétique, il n’était guère apprécié étant réputé très dur avec ses collaborateurs. Il ne faisait pas dans le social. Du genre qui rit quand il se brûle
    
    Pour la soirée, elle avait passé une robe longue noire très simple mais élégante et lui était en costume. Je les avais accueillis et, les avais conduits au jardin où leur apparition en pleine partouze avait fait le même effet qu’un crocodile entrant dans une piscine.
    
    La tête de leurs employés était pathétique. Chacun s’était arrêté en plein mouvement et mon père qui, la seconde d’avant, branlait sa belle pine avec lubricité débandait à vue d’œil.
    
    Ce fut la femme du patron qui rompit le silence.
    
    — Mais vous ne m’aviez pas dit qu’il s’agissait de ce genre de soirée, dit-elle à son mari.
    
    — Mais je l’ignorais ma chère !
    
    — Présentez-moi dit-elle en s’avançant vers le groupe le plus proche, c’est-à-dire celui de ma mère.
    
    Celle-ci s’était redressée et, dans un geste étonnant de pudeur de sa part, aussi ridicule qu’inutile, elle essayait de se cacher le sexe d’une main et la poitrine de l’autre ; Maxime s’était retiré et débandait lui aussi. Seul le nain arborait fièrement son érection sans honte, son vice trouvant certainement son compte à s’exhiber dans une si glorieuse posture devant la femme du patron.
    
    Elle était déjà devant lui et son mari, tout en faisant glisser les bretelles de sa robe pour la faire tomber, ...
    ... elle dit simplement :
    
    — Grégoire.
    
    Sous sa robe la femme ne portait qu’un string, dont la cordelette ultra-fine de soie couleur chair donnait l’impression qu’elle était nue et que le triangle de soie noire était un pubis sobre lisse et régulier.
    
    Elle s’agenouilla aussitôt et prit le sexe turgescent du nain dans sa bouche.
    
    De l’air le plus naturel du monde, le patron baissait son futal et libérait une jolie queue bien arquée.
    
    — Madame est votre épouse, je crois dit-il en regardant mon père et en tendant sa bite à ma mère.
    
    — Oui, oui dit mon père comme s’il sortait d’un rêve, en s’approchant.
    
    Ma mère prit ce mouvement pour une bénédiction et se jeta goulûment sur le sexe du patron.
    
    — Mais dites-moi Roland, reprit le patron, comment avez-vous su que mon épouse et moi sommes friands de ces "sauteries" familiales ?
    
    — Mais, à vrai dire, je l’ignorais complètement, répondit mon père... et j’ignore qui vous a fait venir. C’est toi vieux salaud ? lança-t-il à Grégoire.
    
    — Non c’est ce jeune homme qui m’a apporté le carton d’invitation, interrompit la femme.
    
    — Et bien jeune homme, je ne peux que vous remercier de cette belle initiative mais comment avez-vous su ?
    
    Je ne savais quoi répondre. Il m’était impossible d’expliquer quoi que ce soit. J’étais sidéré. Je me serais attendu à tout sauf à ça. Ce gros bourge plein de fric et sa bêcheuse de femme étaient des bêtes de sexe ! Qui aurait pu le dire ? Ils me foutaient tout mon plan en l’air.
    
    Mon père ...