1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (5)


    Datte: 23/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Mais je leur réservai un chien de ma chienne. Je leur ferai un truc tel qu’ils en mourraient de honte et qu’ils m’en voudraient éternellement. Ainsi me laisseraient-ils tranquille.
    
    J’arrivai donc le dernier à cette soirée, stressé car tout de même les conséquences pouvaient être graves... Mes bagages étaient dans la voiture. Je devais prendre possession de mon appart le soir même. J’étais allé chercher les clefs, on avait fait l’état des lieux et signé le bail.
    
    Il faisait chaud. Les voitures étaient dans la cour. La maison était vide. Tout le monde était dans le jardin au bord de la piscine sans doute et je me dirigeai vers le jardin. Mais je n’étais pas seul...
    
    Je m’étais attendu à les trouver déjà tous à poil et peut-être en train de forniquer.
    
    Il n’y aurait pas là de quoi me surprendre... la surprise était avec moi.
    
    Et je les trouvai comme je les avais imaginés. Par contre, c’est tout l’attirail déployé qui me stupéfia. Des trépieds des lampes... tout un matériel de photographie et deux types, que je ne connaissais pas. Un sexagénaire bedonnant et un jeune gars, genre géant scandinave dans un T-shirt surmoulant.
    
    Ils étaient donc tous à poil sauf le gars au T-shirt qui avait tout de même enlevé son slip, et ils s’enfilaient déjà. Il faisait chaud et jour encore.
    
    Ma mère était à quatre pattes Maxime la limait par-derrière tandis que le nain lui maintenait fermement la tête pour que sa queue se maintienne bien dans la bouche. Tante Lucie était sur le ...
    ... dos. Christian la couvrait pendant qu’elle masturbait mon père et mon frère qui dialoguaient avec les deux autres types pour savoir quel angle et quelle position s’adapteraient le mieux pour photographier et filmer cette scène de cul qui se voulait mémorable.
    
    Mon arrivée fit l’effet d’une bombe. Je lançai un tonitruant "bonjour" et tous se figèrent, non pas en me voyant mais en découvrant ceux qui m’accompagnaient.
    
    Il faut dire que dès que la date avait été arrêtée, je m’étais rendu chez le patron de mon père avec un carton d’invitation plus vrai que vrai que j’avais rédigé moi-même et, un coup de chance, donné en mains propres à la patronne qui rentrait justement de son cours de fitness. Elle était dans sa petite décapotable britannique.
    
    J’avais bien insisté auprès de la femme sur l’honneur que leur présence ferait à mes parents lors de cette petite soirée et lui avais demandé de répondre à l’invitation par mail.
    
    Elle m’avait dit qu’elle transmettrait à son mari... et je craignis un refus de ce dernier, mais ils acceptèrent.
    
    Contrairement à ce que disent certains qui trouvent qu’une femme de cinquante ne vaut pas le coup, je la trouvai très belle. Elle était d’un roux très foncé. Son débardeur moulait une poitrine des plus généreuses et son short insistait sur le galbe parfait de ses fesses.
    
    Personne ne pouvait la voir. Elle était jugée fière et hautaine et, depuis que la liberté sexuelle était de mise chez nous, j’avais plus d’une fois entendu l’un ou l’autre ...
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