1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (5)


    Datte: 23/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... me tira de l’embarras en me présentant.
    
    — Venez ici jeune homme que je vous récompense !
    
    Je m’approchai de la femme du patron qui s’était arrêtée de sucer le nain pour me lancer cette invitation. Elle tâta ma braguette en faisant "hmmm", puis la baissa, sortit mon nœud et se jeta dessus.
    
    — Eh eh, mais il a des arguments le jeune homme, dit le mari cocu et content de l’être.
    
    — Comme tous les autres mâles ici mon ami, fit judicieusement observer son épouse entre deux coups de langue bien sentis.
    
    — Il est vrai, il est vrai... Ah chère amie, vous qui aimez la bonne bite bien dure, vous allez être servie ! Mais qui sont les deux autres jeunes gens ?
    
    Mon père présenta mon frère et Maxime.
    
    — Ah mais dites-moi, voilà une belle amitié... vous ne croyez pas ma chère, que ces trois jeunes gens vous feraient de beaux mire-balais ?
    
    — Oh que si, l’idée est bonne !
    
    — Eh bien cela vous siérait-il messieurs ?
    
    — Euh c’est quoi mire-balai ? demanda mon frère.
    
    — Mais pardi c’est un beau jeune homme comme vous qui emploie ses charmes et les talents dont la nature l’a assez généreusement pourvu à satisfaire les dames... Vous comprenez, dès que je pars à l’étranger, et je ne peux pas y emmener tout le temps mon épouse, elle reste à la maison et pendant ce temps-là on me la baise. Tant qu’à faire monter sa pouliche, autant choisir les jockeys n’est-ce pas ? Donc messieurs cela vous dirait-il de remplir bénévolement cet office ?
    
    Je me surpris à répondre oui en même ...
    ... temps que les deux autres qui n’attendaient que ça ! Il faut dire qu’elle était en train de me faire une sacrée pipe. Elle s’était accroupie, me maintenait par les fesses de son bras gauche et se chatouillait le frifri de la main droite sous les encouragements du nain.
    
    J’étais flatté qu’elle préfère ma queue à celle pourtant beaucoup plus imposante de Grégoire. Mais je pense que c’est parce qu’elle pouvait plus facilement l’avaler et qu’elle y éprouvait ainsi plus de sensations.
    
    Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir. Elle me pompait avec maestria ; J’étais aux anges.
    
    Pourtant, elle ne suçait peut-être pas mieux que ma mère et tante Lucie, ni moins bien d’ailleurs, évidemment pas ! Mais surtout, ce n’était ni ma mère ni ma tante et elle ne m’inspirait pas le dégoût et la prévention que j’avais encore à baiser ces deux débauchées perverses.
    
    Elle avait du mal à se tenir accroupie à cause de ses talons, aussi choisit-elle d’enlever ses godasses, opération qui permit au nain de commencer à lui renifler le cul à y mettre le doigt.
    
    — Empalez-vous sur cette grosse teub ma chérie. Je veux la voir vous fendre la chatte, dit le mari.
    
    Elle enjamba aussitôt le type et se laissa glisser lentement sur l’énorme pine. Quand elle y fut bien assise, elle revint à moi, c’est-à-dire plus précisément qu’elle m’attira à elle pour s’occuper encore de mon sexe. Elle me mangea les couilles et me reprit dans sa bouche.
    
    — Permettez jeune homme ! Entendis-je à côté de moi.
    
    Je ...