Banquière perverse (20) - Histoires de Sexe

Banquière perverse (20)

... quand les deux filles s’échangèrent une gorgée de champagne dans un baiser fongueux. Il était si passionné que le liquide pétillant s’échappait par le coin de leurs lèvres, et coulait sur leur chemisier juste à l’endroit de leurs pointes ; ce qui le rendait transparent. L’érotisme de la scène était tel que mon sexe passa en un instant à la verticale. Pendant que le liquide coulait, une de leur mains s’insinuait sous leur jupe remontée très haut et fouillait, où ? Nul besoin de se tortiller le cou pour voir qu’elles se caressaient la minette ; je devais avoir les yeux exorbités et mon pivot vibrait déjà de bonheur.

Le meilleur fut la suite, car, quand Gladice dégrafa d’un geste lent et méthodique le chemisier de sa complice et engloutit le mamelon droit imbibé de champagne. Elle le léchait avec gourmandise, elle le tétait comme un nouveau né et aspirait si fort que je pouvais entendre les bruits de la succion. N’ayant sans doute plus rien à sucer, elle passa à l’autre et lui fit subir le même sort. Lacksimy fermait les yeux et ses lèvres mimaient son plaisir que je pouvais aisément imaginer. Cette vision me donna envie de me toucher aussi les mamelons, j’adore ça ! Mis elle ouvrit les yeux et son regard devint sévère ; elle m’ordonna :

— Je t’interdis de te toucher quoi que ce soit, pose tes mains sur les accoudoirs et regarde ; c’est tout à ce que tu as le droit de faire !

Je pris la posture et la vision commença à ressembler à un véritable supplice quand Gladice ...

... fit glisser ses lèvres sur le ventre de Lacksimy, et qu’elle fit descendre la minijupe. Elle ne servait d’ailleurs plus à rien tant elle ne cachait plus la chatte de la belle. Des ses deux mains, posées sur les genoux de la demoiselle, Gladice lui ouvrit les jambes en grand et lui plongea sa tête entre les cuisses. Le plaisir se lisait sur le visage de Lacksimy, elle s’accrocha à la chevelure de ma chérie et la maintint fermement. Elle me fixait alors avec un regard de défiance et de mépris, comme pour me dire : « Tu vois un peu comment je suis en train de jouir » ; et moi je m’accrochais, les ongles plantés dans le tissu des accoudoirs du fauteuil.

Il n’y avait pas que cette vision, mais aussi celle du cul de Gladice qui dans un geste vif remonta sa jupe au dessus de ses fesses en m’exposant la totalité de son intimité. J’eus un instant la terrible envie de lui bondir dessus et de l’empaler d’un coup, mais j’avais des consignes… : « Ne pas bouger ! »

Je commençais à avoir des crampes au niveau de mes abdos à force de me retenir d’une éjaculation imminente, et d’aussi contrôler le charivari qui se déroulait dans mes bourses. Mais la chose empira quand Gladice se leva presque d’un bond, se déshabilla entièrement et sauta sur Lacksimy qu’elle allongea sur le dos en se couchant sur elle dans la position du 69. Elles se mirent à se bouffer la moule avec une force incroyable, elles me faisaient penser à deux tigresses en train de se battre pour un morceau de viande ; c’était ...