Banquière perverse (20) - Histoires de Sexe

Banquière perverse (20)

... préparer des toasts et le champagne. Elles voulaient jouer les petites bourgeoises pour la soirée et mener grand train en buvant du champagne. L’idée m’excitait énormément car je savais que quand elles buvaient un peu ; elles devenaient vite très coquines et aussi très amoureuses.

Le temps de préparer et garnir les amuse-bouches, elles partirent se préparer. J’avais à peine terminé que déjà on me sonnait. Quand j’arrivais dans le salon avec mon plateau chargé, j’eus l’agréable surprise de découvrir deux superbes filles court-vêtues. Elles étaient toutes les deux debout en train d’admirer un tableau de maître au mur, elles s’étaient certainement concerter pour leur tenue car j’aurais juré quelles étaient des sœurs. Toutes les deux avaient revêtu une minijupe noire et un chemisier blanc classique, mais transparent au point que je voyais qu’elles n’avaient rien dessous. En m’entendant arriver elles se retournèrent en me laissant découvrir leurs tétons poindre au travers du tissu blanc. Le résultat sur mon vit fut immédiat et il s’allongea doucement et Gladice ne manqua pas de le faire remarquer :

— Tu vois ma Chérie, quand je te disais qu’il en fallait peu à un mec pour qu’il bande !

— Je vois, je vois ; bien : Issam, installe-nous tout ça sur la table !

— Mais dis-moi, il n’y a que deux verres ? Ton Serviteur ne trinque-t-il pas avec nous ?

— Mais enfin, pas chez moi ; ma Chère !

— Tu pourrais faire une exception pour une fois, ma Chérie !

— Bien, parce ...

... que c’est toi ; mais tu m’en seras redevable !

— De…

Elle lui chuchota le reste à l’oreille.

— Humm…avec plaisir, Issam va te chercher une coupe !

Je compris rapidement en quoi consisterai le jeu de…Je pensais que je serais leur jouet cette idée me ravissait au plus haut point ; je leur donnais la réplique.

— Merci beaucoup Mesdemoiselles ! Je suis très honoré.

Après quelques toasts et une coupe de champagne Lacksimy s’adressa à Gladice :

— Dis-moi ma Chérie, tu me dois un petit quelque chose…

— Oui, c’est vrai, mais ne soit pas inquiète ; je n’ai pas oublié. Parce que tu veux ça maintenant ?

— Oui !

— Devant lui ?

— Pourquoi pas, moi ça me tente bien ; pas toi ?

— Oui, alors c’est d’accord. Issam, sers-nous une coupe et installe-toi là, dans le fauteuil et sers-toi aussi car je pense que tu vas en avoir besoin !

Alors que je m’exécutais, elles se placèrent dans l’immense canapé en L où l’on pouvait s’allonger facilement à deux sans se gêner. Dans le mouvement je découvris que ni l’une ni l’autre ne portait de culotte, et j’apercevais aussi leur fente.

— Alors Issam, ça te plait, la vue est belle ? me demanda Gladice.

— Pas mal, répondis-je.

— Issam, tu t’installes et tu ne bouge qui si je te le demande ; compris ?

— Bien Mademoiselle Lacksimy.

Je ne savais pas encore ce qu’elles me réservaient, alors je me suis calé dans le fauteuil, une coupe et des amuse-gueules à porté de main et déjà le sabre au clair. Il gonfla encore ...