Banquière perverse (20) - Histoires de Sexe

Banquière perverse (20)

... m’a répondu qu’elle n’aimait pas les putes comme moi, puis elle est partie. Alors Issam, tu ne peux pas savoir comment j’étais heureuse quand tu as défoncé la porte. Elle venait de me dire qu’elle allait me couper les tètons avec le sécateur et…

— Arrête, je connais la suite…

— Mais comment as-tu deviné ? me demande Jelila.

— Et bien voilà…

Je lui raconte les bruits dans la maison, la boulangerie, la voiture et le mec qui m’avait engueulé, puis la lumière d’une lampe torche dans la maison, et enfin sa fille qui fouillait dans la cuisine en s’éclairant de la lampe. Et enfin la descente vers la cave, les paroles que j’avais entendu à travers la porte, et enfin la délivrance.

— Voila Jelila tu sais tout. Je ne sais pas ce que tu compte faire, mais nous on ne peut pas rester ici et nous allons partir. Je suis désolé Jelila, mais ta fille est dangereuse et je pense que tu devrais faire attention à toi.

Elle reste un instant sans réponse, le visage est fermé et triste ; son menton tremble et d’une voix étranglée elle nous dit :

— Dis-moi Issam, elle était dans cette tenue, noire en latex ?

— Oui, pourquoi ?

— Pour rien mais nous avons eu une silhouette comme ça hier soir quand il y a eu la tentative de cambriolage à mon agence…

— Mais pourquoi aurait-elle fait ça ?

— Je ne sais pas, mais s’il vous plait ; ne partez pas, je tiens trop à vous. J’ai besoin de vous, restez ici au moins quelques jour ; je vous en supplie ! Je vais te donner de quoi la ...

... soigner et tu vas rester auprès d’elle ... Laissez-moi la journée pour régler ça, s’il vous plait…

Elle est bouleversée, et je crois en la sincérité de ses paroles. Je suis en confiance, alors d’un regard, Gladice approuve.

— Jelila c’est d’accord, nous restons.

— Merci, merci, nous dit-elle en larmes et en quittant la pièce.

Jelila nous quitte, alors je m’occupe de ma chérie ; pendant que je soigne son dos avec la pommade de Jelila, elle s’endort. Je pense qu’il est mieux de la laisser tranquille, alors je m’allonge nu à côté d’elle et je la regarde dormir ; la vue de son dos et de ses fesses me fait mal au cœur. Je m’en veux terriblement de ne pas avoir deviné ce qu’il se passait, j’ai mal pour elle et je suis très en colère contre Lacksimy. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi un tel déchainement de violence, elles s’entendaient si bien, et je me souviens qu’elles avaient fait déjà fait l’amour toutes les deux.

— oOo—

C’était par un beau soir d’été, nous étions tous les trois dans le salon ; sa mère était partie pour une réunion qui devait se terminer très tard. Rien que le souvenir de cette soirée me fait déjà gonfler le sexe. Lacksimy nous avait proposé de passer la soirée tous les trois ensemble, elle avait imaginé une sorte de jeu de rôle où elle recevait son amie. Histoire de changer des habitudes, elles s’habillèrent et moi je restais nu, car j’étais son serviteur et je devais faire le service. L’idée nous plut et je fus expédié en cuisine pour ...