Banquière perverse (20) - Histoires de Sexe

Banquière perverse (20)

Rappel du chapitre précédent.

Après un bon bain et un petit-déjeuner généreux ; Gladice nous raconta ses mésaventures. Plus elle avançait dans son récit, et plus elle était émue ; ce que lui avait fait subir la fille de la banquière la faisait régulièrement éclater en sanglots. Je me sentais coupable de ne pas avoir eu l’idée de descendre dans cette maudite cave où personne n’allait jamais. À la dernière crise de larme de ma chérie, Madame visiblement émue et contrariée ; prétexta d’aller prendre une douche pour s’esquiver. J’essayais de consoler ma chérie du mieux que je pouvais, à force de douceur et surtout de gros efforts de sa part ; elle finit par se calmer doucement.

— ooOoo —

Gladice est enfin calmée.

— Allons, allons ma chérie calme-toi, ne te sens pas obliger de tout détailler ; tu te fais du mal et cela ne sert à rien.

— Je sais mon chéri, mais il le faut, il faut que je me libère de ce poids et elle est en droit de tout savoir pour bien se rendre compte de ce que m’a fait sa fille.

Nous avons fini de petit déjeuner et elle repousse le plateau. Assise en tailleur, nue, elle me tend ses mains, je les saisis et nous restons là ; à nous regarder en silence. Je vois dans ses yeux une grande souffrance, je ressens sa douleur ; une larme coule le long de sa joue et moi aussi je suis ému. Elle plonge dans me bras, je l’enlace et la serre très fort contre moi dans une étreinte chaleureuse et amoureuse ; nous nous embrassons doucement puis nos langues se ...

... mélanges. Je retrouve à nouveau la saveur suave de sa salive, c’est un véritable nectar ; je je n’ai pas oublié non plus le moelleux de ses lèvres que je mordille avec plaisir ; elle en profite aussi. Quand elle arrive à attraper ma langue avec ses dents elle la mord également, et je lui laisse sans broncher. Je n’ai pas envie de bouger car ses doigts courent dans mon dos. Mon sexe se raidit, sa main l’attrape et le masse doucement ; je suis heureux, j’ai retrouvé ma Chérie !

— Ça va ? Gladice, je pense que ça va mieux maintenant ?

Dans notre étreinte, nous n’avons pas vu entrer Madame, elle s’adresse à nous, mais sa voix est étrange, sans doute à cause de ce qu’il vient de se passer ; ou le fait qu’elle nous surprenne dans notre étreinte ? Je ne sais pas, mais je suis mal à l’aise et je me sens coupable.

— Oui…Oui Madame, je vais continuer mon récit, je…

— Oui, c’est gentil car je veux tout savoir, mais je voudrais que comme Issam tu m’appelles par mon prénom et que tu me tutoies. J’espère que vous avez compris tout les deux que je n’y suis pour rien dans tout ce qui t’est arrivé. Je te… je vous promets de tout faire pour vous aider à sortir de cette situation.

— Merci, je vais essayer de vous tutoyer. …

Elle marque une pause, sans doute pour reprendre le fil de son récit.

— Je continue… Alors, voilà : une fois dans la cave, elle m’a enfermée et attachée comme tu m’as trouvée. Pour dormir elle m’attachait nue à même le sol, j’avais froid et impossible de ...